Gasp !

Quand on songe que les 9 dernières années de Françoise Sagan ont été consacrées (si l'on peut dire ...) à pourvoir l'Etat en "arrêts sur salaire" (arrêts sur les droits d'auteur, et, dans la pratique, pour elle, arrêt de l'écriture par manque de motivation... [l'inspiration "ça ne se commande pas, papa"...] 0 absolu - le retour) On le constate rétroactivement : afin de satisfaire la soif du fisc, la communauté aurait donc préféré du cash cryogénisé, à un prolongement de l'œuvre littéraire (pour schématiser)
C'est pas médiocrate ça, comme procédé ?
Numerus clausus à Graveland. Pas un de plus.

Un looser qui a de l'élégance. Qui parle vrai (bien plus difficile que de faire l'ENA), même en bégayant, tout en se promenant à marée basse, comme un Petit Prince attardé parmi les épaves des chalutiers.
Quand on songe que la carrière de musicien de Darry Cowl était si peu gratifiante, qu'il a préféré se compromettre à faire l'acteur. Et qu'il a tourné tant de navets pour payer ses dettes de jeu, pour alimenter son ancien vice des casinos, qu'il est le témoin (et le responsable pour une part, assumé) d'un trou laissé béant dans le cinéma burlesque français.
Voilà un cas de figure hautement symbolique de la société occidentale (en passe de contaminer la Terre entière, faites gaffe, les chinois !) : gâcher les resssources humaines pour les escamoter dans des jeux de chiffres aléatoires !
(énigme à comprendre : "rentabiliser" l'indicible, au forceps, notamment par cette illustration anecdotique : "ressources humaines" = habitants du Tibet, "jeux de chiffres aléatoires" = concert électronique de JM Jarre : quand le démiurge devient marionnette ...)
Darry Cowl incarne le libéralisme mieux que quiconque ! (Un album avec Cowl au piano, en prévision ? Je serais client.)

(Et, last but not least, résultat des courses (olympiques) : les chiffres donnés par l'ancien gouvernement Grecque pour rentrée dans l'Europe étaient com-plè-te-ment-bi-dons : c'est officiel maintenant ! - no comment - J'en encore un billion et demi de spots à voir sur les J.O. à Paris, d'ici 2017 !)

Après j'ai passé un DUT Génie Thermique et Energie, j'ai mangé plein de Thermodynamique (des calculs avec des Kelvin, des conversions en degrés Celsius, etc.) Je suis toujours dans le domaine de l'énergie, courage dans quelques-mois c'est fini, Inch'Allah.

l'Optimum, c'est mon vrai patron !
Demain, il fera jour.

@ Nebo | la pierre dont tu parles, c'est la pierre--à-briquet sûrement ! ... n'importe quelle matière, à cette basse température, va se transformer en piezzo, prêt à "mettre le feu" ! (selon le postulat : "les extrêmes se rejoignent" ... et par la loi : "E=MC2", comme disait ce boutte-en-train d'Einstein)

Moi, pour l'heure, je n'en suis qu'au stade de la pierre ponce ... (Dans l'eau : une île entourée de mousse, qui ne craint pas les processions de cyclones, qui se joue des perturbations climatiques ozonées, qui se rie des oscillations moléculaires - qui fort heureusement demeurent anodines (prudence : zone neutre juste entre l'anode et la cathode, au moindre rapprochement ça fait des étincelles, des courts-circuits dans les synapses ... Un faux pas de côté, un écart de trop, et le funambule se ramasse, et puis c'est la planète qui fait grise mine ! Brusquement orpheline de l'aura d'un certain Mr Jackson). Alors le zigue zague. In a foxy way ...)

"merci de me prêter 2 l'attention" ( : je vous la rendrai, vous savez bien. I & I = 4)
Profusion éclairante (dan et jm ne laissent rien passer. Tu bosses sur quoi jm ? ) Diagnostique gratos de Laurent (perspicace, qui ne perd pas la boussole. Mme Irma n'a qu'à bien se tenir...)
Stef ne croit pas à la magie des éprouvettes (mais oublie les pompes Balavoine, et la science de l'irrigation en haute mer ... de sable). Il a raison (gardée) : LE DESEQUILIBRE EST L'ENNEMI N°1 (on le sait ici : j'enfonce une porte ouverte)

La dignité , ça ne s'offre pas, ne se donne pas, se prête pas : elle est pareille à "la classe" (en français dans le texte) des mecs cool de Harlem en 1929, arrachée d'un geste désinvolte au granit des cœurs secs, volée à l'étale des officines d'interim, saisie comme une écharpe en soie dans le fatras des zombies.
A l'évidence, le vif éclair des enfants du taudis, ce sourire offert par la Reine des Favelas, Olivia de retour au bercail ...

L'autorité peut se contester, (d'ailleurs c'est fait pour : sinon on se recycle dans le géranium, on compose avec la suie des faubourgs, en pré-retraite de la Beresina : on ne jugule plus des masses...) Mais pas le respect : c'est encore pire que de tendre la joue, respecter, c'est regarder dans les yeux... (sans ciller ? ce n'est pas garanti. Où est l'intérêt ? ... De ciller).

Si on me demande, je suis dans l'escalier... (Ils ont carrément démoli au marteau-piqueur le pré-hall du rez-de-chaussée de l'immeuble : il parait que des clodos y dormaient. Y'a que dans les bureaux du l'Office qu'on le savait, les voisins n'ont rien vu. Je m'interroge ... Comment les señors (ces inactifs récurrents, dans l'entrée) vont organiser leurs parties de pétanques maintenant ? S'il pleut ?)