Lionel, tu t'es planté : jamais Wolfie n'aurait dit "bordel".
Wolfie tu t'es planté : tu as bien dit "creux" de Lionel.
Mc Luhan : trop fort le coup du rebond SM
Lee-O : trop profond le coup du consumérisme ... (Hé, JLA a fait sideman chez V. Lagrange ? Avis : ça serait intéressant d'avoir un ou deux détails là-dessus... sur le contact Louis/higelin aussi ... à part jouer au flipper avec BBH, ça se passait comment ?)

Louis : C'est super que tu rétorques sur la question du rock/variété [NB/ prononcer ce dernier mot comme Lavilliers dans "Haute Surveillance" (wow!) sur Les Barbares ? ou comme le ferait Ben Harper (s'il répondait dans notre langue) à ce sujet ? - et il serait aussi qualifié, mais peut être avec moins de bons arguments, who knows ?]

Je comprend que, comme ce point t'asticotait, tu ne sois pas resté concentré à donf sur la suite de la contrib de Sean : "Mais il existe des formes d'expression intransmissibles par des mots et des images, et ça, la société ne peut pas le gérer. Elle ne peut plus prendre de décisions à notre place et si l'on se met à réfléchir et à être libre (paradoxalement un crime en démocratie!), beaucoup de gens vont perdre leur gagne pain (et leur femmes, leurs gamins, leur retraite etc...). "

Ex: La culpabilité qu'on veut faire porter aux "pirates" du MP3 (un peu le même plan qu'on voit avec le tabac dans les collimateurs plutôt que les hydrocarbures) ne peut être endossée comme ça pour les licenciements actuels. (Passk en fait, on est presque tous logés à la même enseigne : Prince, Jean Philippe Smett, Michel Jonasz, Nyto, Nebo [...] Dan, jc & moi : on n'a pas -ou plus- de maison de disque !!! (Finalement, toi aussi, d'une certaine façon tu fais bien parti de la bande puisque tu laisses la tienne se ronger les ongles... en attendant, le début des complications )
Bon, comme toujours, y'a à nuancer là-dedans, mais il est indéniable que toute "formes d'expression intransmissibles par des mots et des images" ont le mérite d'émouvoir, et me plongent dans un vertige de curiosité émoustillante ... Pense-z-y Matt... parler ... et s'exprimer ... (là, mes doigts grattent le ciel ... )

A part ça si "un artiste n'est pas forcément un bon homme d'affaires" (dixit Bernadette Lafont, et on sent le vécu ...) alors c'est que les uns ont besoin des autres (et Lycée de Versailles). Reste à définir ce que serait un BON homme d'affaire$ !!! (par exemple je suis maintenant convaincu que sans le Rothschild, les DOORS aurait fait un très bon garage band un peu plus allumé que la moyenne, mais n'auraient pas enregistré Spanish Caravan, ou Unknow Soldier ...)

Sinon pour le Jazz (comme sur quasi tout ce que t'as dit : je suis sur la même longueur d'onde jusqu'à St Germain ...) j'attend de voir ce que va donner Diana Krall maintenant que je sais qu'elle est à la colle avec E. Costello (comme j'attend d'être décoiffé par l'avant-garde rock'n'rollienne Lou Reed/ Laurie Anderson ... Mon dernier frisson (what a cool thrill !) je crois que c'est Monty Alexander revisitant Marley (mais c'est du piano pas de la gratte) ...Et puis, Birelli, on a beau dire, il a les épaules pour forcer les barrages mediaticommerciaux...

Votre cour n'est pas la mienne.

Heu.... en passant, j'aimerais proposer un peu hautainement une conclusion à propos de ce que disait Lee-O-Neil sur l'accomplissement à 20 25 ou 30 ans. Je pense que le truc merveilleux à ces ages dans lesquels j'entre et dont je suis deja partiellement, c'est qu'il y a un plaisir infrustrable ou presque a s'accomplir, à jouer de la musique, a construire sa penser, à decouvrir des mondes, aimer et baiser, etre plein d'espoir (oui! Et ne pas broyer ses reves dans un coin comme c'est souvent le cas), aimer un peu l'aventure... Quand tu es jeune, tu n'ES pas, tu SERA! Regardez ma derniere contrib "quand je jouerai bla bla bla". C'est tout une attente. Et je hai et refuse l'ennui. Ce qu'il faut comprendre (j'avoue que j'ai du mal meme si je pige) c'est que l'accomplissement dure tout une vie. A nous de faire en sorte de vouloir encore bander à 50 ans, comme c'est le cas de Lionel (ou d'un de mes idoles Henri Salvador), qui semble etre heureux avec sa femme et ses gosses, meme si a mon avis il fume trop (oui Lionel, t'as la voix un peu explosée meme si tu chantes bien )

Qu'est-ce qu'etre rock? Moi je ne crois pas en ces "clans" de merdes auto-imposés entre jazzeux et rockers meme si ils existent (ils restent a briser). Mais Louis, t'as raison, dans le sens que les jazzeux on un ego tres developpé ( ) et ça bloque souvent les choses, meme si parfois, on peut voir des choses superbes se passer lors de boeuffs par exemple, dans lesquelles les personnalités arrivent parfois à s'oublier et a se confondre. Et les temps changent, maintenant je crois, pas comme toi, que le jazz peut produire de belles choses aujourd'hui, avec une plus grande ouverture d'esprit qu'avant (vers l'electro et les musiques du monde surtout) et une plus grande facilité technique, meme si les mecs sont capables d'envollées. Je pense à Jan Garbarek dont je suis tombé amoureux, a Wayne Shorter, a Truffaz, a Sonny Rollins... Miles! Faut voir le changement! Les trois notes magiques, cher Louis, heros qui m'est cher, marchent pour Miles, avec sa sourdine! Vous n'etes pas a des années lumiere l'un de l'autre dans le fond!
Vous savez, je deteste tout ces mecs qui se levent le matin en disant, avec une integrité jamais dementie, "Je suis un jazzman de coeur et d'esprit, et je le serai toujours!". Comme si c'était une fierté! Et ça marche pour les bluesmen, quand ils sont puristes, ça peut etre des couillons pas possibles. Voila pourquoi j'aime Buddy Guy, qui lui fait encore evoluer son son avec ses gros Marshall et son son crunch du tonnere, son look un peu jeun's.
Je vais prendre mon exemple, desolé, mais moi ce que j'aime aussi dans la musique que j'ecoute, c'est papillonner! Comment dire autrement? Aller d'une chose a l'autre en la comprenant si on veut, c'est plus pretentieux mais c'est l'idée. Voir les choses par extension. Dans la musique comme dans le reste, mais je vais pas bavasser pour rien, mais j'ai tout le temps ça dans la tete.

Je, tu, il, nous, vous, ils aiment papillonner, toi, nebo, miles etc. Bon je met tout le monde sur le meme plan, mais c'est pour essayer de montrer que finalement, nous avons grossierement la meme approche de la musique en tant que necessité d'apporter quelque chose, un frisson, une passion, un orgasme (Miles ), un message, un soulagement, un engagement pourquoi pas. C'est selon, mais ça se recoupe. Un mec comme David Bowie voit les choses d'une maniere voisine a celle de Jeff Beck, meme si leur musique est a des années lumieres : ils savent tous deux qu'ils suivent une evolution naturelle, tout comme toi, qui va nous livrer de superbes choses ethniques entre autre. On ne s'arrete jamais de creer, si on le veut, si on veut encore bander et s'accomplir!

(Wolfie, au-delà de l'affection qui lie tous les participants à ce forum, je te trouve inconséquent et plutôt engagé dans un cul de sac. Inconséquent par cette attitude curieusement consumériste qui attend des autres "des idées, bordel, des idées concrètes" en n'apportant toi-même pas grand chose une fois tous les 3 mois. Engagé dans un cul de sac, parce qu'en dépit d'une nature hédoniste de bon aloi, tu t'obstines à penser l'issue des interrogations actuelles dans Thanatos, dans le désenchantement, dans les coups de boutoir contre ce qui maintient tout de même une certaine cohésion entre individus).

jc, merci, contrib pertinente, que je ne trouve pas "trop construite". C'est important le "construit", dans le langage écrit comme dans le langage musical. Même si cela ne suffit pas entièrement et qu'il faut laisser la place à l'improvisation, à la prise au dépourvu, une "prise de parole" orale ou musicale gagne à être pensée.

En réalité, la musique n'est pas au départ un "job", pour lequel on peut faire un plan de carrière. C'est d'abord un langage qui sert à exprimer des messages. Pour certains (rares, Matthieu, très rares), c'est même LE langage privilégié pour cela. C'est ainsi le cas de notre Louis national. Pour lui, depuis l'orée des 20 ans, c'est sa première langue pour exprimer les messages qui comptent, on pourrait presque dire les messages sacrés, ceux qu'il nous tient à coeur de faire passer (dans le cadre d'un projet plus ou moins conscient -- je n'ai pas répondu ici à Guitouche mais nous avons parlé au téléphone de cette notion moderne et essentielle).

Mon frère Philippe me rappelait la semaine dernière, alors que nous discutions du bouquin d'Ichbiah, combien il se souvenait nettement avoir noté le changement de niveau de Louis d'une part et de Jean-Louis Aubert d'autre part au moment où ils ont "embrassé" la profession en allant faire leurs armes l'un avec Higelin, l'autre avec Lagrange. La beauté, la réussite de Téléphone, c'est la rencontre d'un mec fait pour parler avec le langage de la musique et d'un autre prêt à faire passer le même message avec des paroles, c'est-à-dire une langue mixte faite de musique et de français.

Je peux rajouter (notamment pour Matthieu encore) que si la production de ce message et sa réussite ont été précoces dans le cas de Louis/Jean-Louis/Téléphone, c'est que le message était principalement à l'intention de la jeunesse et de ses interrogations : le message formulait clairement ces interrogations ("Qu'est-ce que je peux faire ?", "Attendre", etc.), c'est déjà un gros apport, et s'attachait à leur donner un début de réponse, mais bien entendu seulement les réponses de cet âge, exhortatives ("Prends en main ton destin", etc.) sans garantie qu'il n'y ait pas autre chose à comprendre "down the line", avec l'âge, l'expérience, etc.

Comme tu le dis en filigrane, jc, ce langage musical, comme la langue française, il est bon, si on en a l'inclination, de l'apprendre, de l'assimiler, de l'étendre, le but étant de faire passer son propre message, qui n'est pas nécessairement un message à l'intention de la jeunesse seulement, par exemple (c'est mon cas ). Bref, à chacun de trouver son langage, ses outils, de suivre le chemin de son projet intime (qu'on peut avoir oublié, enfoui sous des couches de "je devrais faire ci", "untel me dit que je devrais faire ça", "à mon âge, on doit avoir réussi, je suis en retard", etc.) et d'avoir la patience correspondant à l'horizon de réalisation éventuelle de ce projet.

En vivre, bien sur que ça m'a traversé l'esprit. Mais comment savoir? En parlant. Ce que j'ai fait. Je connais pas mal de musiciens, plus ou moins pro, plus ou moins bon. On m'a dit que si on prenait cette direction, on se condamnait a moitié a vivre sous les ponts, en tout cas a pas avoir ni femme ni enfant, ce qui est par ailleurs un choix tout a fait estimable et respectable. Enfin, j'en ai entendu des vertes et des pas mures, mais dans presque tous les cas, j'ai vu que les mecs en chiaient dans leur vie, desolé. Sauf un, mais celui-ci tiens un magasin de musique et lui c'est le "padré" du coin voyez vous... Il va bientot jouer avec la section rythmique de Truffaz, il va monter un sacré truc je pense... c'est un autre sujet.

En tout cas cas, oui les places sont cheres et je me rappelle le premier mec que je connaissais qui m'a fait me mettre a la musique, c'était un jazzman qu'etait venu faire une demo dans mon bahut, avec qui j'ai causé a qui m'a invité a son gig du soir. On a bien symatisé, il m'a dit "tu sais meme si tu fais un truc un jour, t'en bavera. Moi la semaine derniere je me suis fait 5000 balles, et j'ai pas de gig avant 2 semaines, entre temps je donne des cours, mais tu sais avec la vie de famille c'est pas evident." Et le mec jouait comme un Dieu. C'etait monsieur Jerome Lefebvre (il joue parfois sur Paris, peut etre certains connaissent).

Apres j'ai commencé (tout seul, je replicait du Knopfler, j'étais fier de moi ) et j'ai pris des cours pendant quelques mois, mais ils ne m'ont servi a rien, objectivement. Au bout d'un moment, le prof m'a dit : "ecoute t'as l'air assez debrouillard et t'es assez bon pour te demerder tout seul si tu te discipline et que tu bosse tes gammes. J'ai plus grand chose a te montrer, je te donne un truc, t'arrive a le jouer tout de suite alors perd pas ton temps." Voila,it was over . Ca c'était y'a 1 an ou 1 ans et demi. J'avais qu'un an de guitare meme pas! Imaginez la connerie qu'il a dit en me disant ça! Je me sentais pas plus en confiance que ça mais c'est vrai que pour des debuts j'étais assez doué. Alors j'ai continué tout seul et ça allait. Jusqu'a ce que je m'interesse au jazzy et a vouloir boeuffer. La je me suis rendu compte qu'il fallait vraiment y aller. Et encore, il m'aurait fallu de la chance si je voulais jouer, surtout que des gratteux y'en a la pelle!

Je savais qu'en plus je voulais plein d'autres choses a coté, en vrai et dans mes reves. Les filles, les livres, le monde. Ca fait beaucoup, et mes 5 heures de sommeil par nuit sont encore trop longue. Mais je profite. Je pense que je jouerai un jour, mais ce sera selon la "methode Lionel". Y'a trop de choses a voir et a faire pour ne s'occuper que de musique meme si c'est vrai qu'elle m'a incroyablement epanoui et qu'elle continue de le faire. Elle m'a ouvert des mondes, je sais pas comment dire autrement, et je sentais que je devais aller voir ces choses. Enfin, tout ça c'est une reverie, mais j'y crois. Tout est a faire, qu'on soit pro ou pas. Eternel recommencement, pas un gig pareil... La beauté quoi. Il faut s'en donner les moyens mais ne pas etre aveugle . C'est a dire ne pas tout miser sur une unique chose, mais c'est pas vrai que pour la musique comme vous le savez tous messieurs. Ne pas danser sur un pied mais gratter a deux mains ...

Je m'égare. Suppositions. Envoyez. Action.

Création d'un "Koollectif Happyning" composé des "Stararafat Boys Bomb" recréant le mur de la honte aux alentours du lieu de real TV "la ferme".

Promotion de labels, sous la présidence de notre ami Otto (remplaçant du regretté Ripollo le Prolo, peintre en bâtiment spécialisation dans le religieux.)
Exemple, promotion d'un label "ottocollant", "ottonome" mais pas trop "ottoman" quand même. Petit "ottocollant" bleu-blanc-rouge apposé à l'entrée des sites religieux et annoté de la précision "made in France".

Dépôt de statuts associatifs regroupant d'anciens pirates de l'air reconvertis dans le détournement des slogans et affiches publicitaires. Les Joyeux Derviches Détourneurs peut-être. Avec tout plein de sponsors bien sur.

Pour l'instant, j'arrête, avant d'être arrêté. Vous aussi, Amis Numéraux Libéraux, créez vos propres structures gentiment subversives. Dans la joie, la non-violence et la roublardise.

on en voit la queue du loup - passez moi l'expression, cher congénèrateur ... Je tâcherai d'en faire bon usage... )

Déjà (re)lire "l'évocation" , à l'occaz, idem ... (consommer avec modération : ça peut saaaaooouuuuler ! c'est un compliment ça !? )

Au fait, Matt, moi ça ne me dérange pas que Sean s'en prenne aux preneurs de son (y'a que les mauvais qui pourraient se sentir visés ... et y'en a, des fois... un mauvais jour... vilainement corrompus, peut être, par Marcel & son Orchestre, qui doivent passer juste après ... Pour te parodier : "heureusement qu'il reste la musique derrière les hommes" qui font la technique ...)

A propos d'échange de courriels, Nebo is out parce que (c'est lui qui me l'a dit, et je ne pense pas trahir qqchose en le répétant ) il n'a "tout simplement plus envie". Tandis qu'en ce moment précis on sent bien l'envie, en filigrane des posts de Guitouche ou Sean notamment ... L'Envie et le Rêve, on y revient toujours !? (et puis... - je rechausse mes lunettes , et je relis la dépêche - "ÊTRE UN HOMME LIBRE, PUTAIN, FOX, C'EST DÉJÀ UN EMPLOI À PLEIN TEMPS !!!!")
(Pour conclure sur la pyrotechnie qui nous a un peu éclaté dans les pattes cet hiver : pour El Nebus le mot "raciste" (ou un synonyme, j'ai oublié) est véritablement une injure, pas une posture à débattre ... c'est tout à son honneur) ./

Lionel STP ne me parle pas trop de "gaucho" en ce moment où je fais par ailleurs l'apologie de Vincenot ("Le Prince des Abeilles" ou ... "le Pape des Escargots" - son best seller romanesque - ' reste plus que quelqu'un rédige un bouquin sur les écrevisses ) ("entre parenthèses" NB : la gestuelle qui va avec, les doigts en l'air qui grattent le ciel ...) . Exemples de "récits autrement puissants et mobilisants" qu'on m'a donnés et que je fais passer ...(c'est certifié ).

Sinon l'idée esquissée la voilà résumée : Gauche / Droite = mouvement latéral. Dialectique arbitraire (marcher "en crabe" et faire croire que l'on double un pole concurrent, alors qu'en fait ON EN A BESOIN pour exister, pour légitimer la politique que l'on met en place. Sans la solidarité occulte (particulière et dite "de gauche", si on fait abstraction du sovietage) le néolibéralisme ostentatoire se casserait la gueule ! (ouf, ça y est : ça semble clair - c'est explicite !)
Balancement du factice ! (Tout autant qu'en se dressant contre l'économie de marché mondialiste ("droitiste") sans se mettre en place dans des réseaux alternatifs, "sans réelle prise sur ce qui est à l'oeuvre"). Guère utile pour aller de l'avant, pour se réaliser dans un pro-jet ! En fait, j'essayais d'entrevoir un mouvement perpendiculaire - en deçà / au delà donc (en remplacement). Tu me suivrais ?

Et maintenant, marre de le dire mais ou sont les solutions. Un peu d'idées constructives, moins de morale, plus d'énergies, moins de "déblatérations". ID,ID, si on le réduisait a deux lettres, peut-être irions-nous plus vite. J'aimerai que l'on puisse émettre des ID contre le systême en restant dans le systême. Je m'expliquerai une prochaine fois.

Bonjour chez vous, et surtout au Kosovo. "Merde" Nebo reviens, tu manques.
Désolé Lionel, c'est du cinq minutes chrono. Je n'en suis pas fiere mais je développerai ultérieurement.