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Le 22/11/2003 à 16h37 (212.47.***.***) |
Fox @ Wolfie -
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on n'est pas forcément dans une impasse ... c'est juste que y'a des bouchons ! (on lève le pied et ensuite on pourra appuyer sur le champignon !) - www.voila.fr : 6ème république, PEUT ETRE ...
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Le 22/11/2003 à 14h05 (212.11.**.**) |
Wolfie -
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Déjà, oublier le Robotisé Arrieré Primaire. R.A.P. Ce n'est pas parce qu'on descend du singe qu'il faut y retourner.
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Le 21/11/2003 à 21h55 (212.11.**.**) |
Wolfie -
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En passant,ratatiné face au Temps,usé de vouloir dévorer la parallêle de ma parallêle jusqu'à s'exciter de choisir la ligne droite plutôt que la courbe. Je relis les écritures automatiques de Soupault, Artaud, Tzara et autres. D'un amalgame de PROBITE et PURETE, il faut trier de nouvelles idées.
Il me semble que les scientifiques n'avancent pas de meilleurs façons que lorsqu'ils sortent des sentiers balisés. Il en est peut-être de même de la pensée; DISCUTONS ET TRIONS CENTURIONS FOX (votre contribution du 20/11 est vivifiante, sans forfanterie de ma part), j'aimerai avoir le même enthousiasme, je vais éssayer dès que que j'aurai réuni ces "putains" d'idées qui me traversent l'esprit sans y rester.
Nous sommes dans une impasse. Provoquons. Demandons aux "créatifs" de réflechir sur une autre voie. Libéralisme, collectivisme, IMPASSE. Donc... Challenge, quoi d'autre?
Les créatifs ne sont jamais aussi éfficaces que face à leurs lacunes.
En tout cas, mourrons pour le plaisir d'avoir joué alors que tant d'autres n'éssaient même pas.
Pour paraphraser et extrapoler très mal De Noailles: Je préfere le singulier de l'honneur d'exister, face au pluriel des honneurs qui me veut plier.
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Le 20/11/2003 à 16h55 (212.83.***.**) |
Fox - (rappel) -
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En résumé : pour la démocratie, on table sur un discours bipolaire (gauche/droite, à moins que cela ne soit haut/bas : europe/commune municipale) alors que le double langage est partout !Exemples vendre des armes à l'arabie saoudite ET à l'irak | négociations pacifiantes et consensuelles de J-F.K. avec Castro pendant que la CIA tente une 20aine de fois de le faire assassiner | Assurer un "service public" (le concept "social", rescapé)... tout en courrant après les profits privés (EDF, LaPoste, SNCF) etc. etc. etc.
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Le 20/11/2003 à 16h22 (212.83.***.**) |
Fox @ Lionel -
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Ma nouvelle conviction c'est justement que l'affectif et le politique sont en fait indissociables (Ex: je suis touché par la sincérité, j'aime savoir qu'untel est honnête, je me rebiffe devant les menteurs, je suis vexé d'être le jouet de messes basses etc...)
Le manichéisme verbeux issu du ping-pong Gauche (soft ou pas) et Droite (compréhensive ou pas), entre ultra-altermondialisme et néolibéralisme forcené, me semble non seulement voué à la stérilité, mais surtout une farce destinée à cacher les vrais problèmes, et à détourner le courroux justifié des populations !
LA LUTTE DOIT ETRE POUR LA PROBITE !!!
(Notes bien que dans ce mot il y a une notion de MORALE, d'Honneur, des valeurs éternelles mais en baisse... "sur le marché des idées" comme dirait Duhamel... Ce qui rejoint la métaphysique : c'est pour soi avant tout, pour son intégrité identitaire, que l'on est comme ci ou comme ça, même dans la vie de la société (politique donc) et non pas pour le paraître, non pas par aliénation à une idéologie ou à des dogmes. LE MENSONGE est une pollution dans l'âme ! (et quand on se ment à soi-même j'te dis pas !)
Après avoir vu un documentaire sur la gigantesque imposture qui a suivi l'assassinat de Kennedy et de "son assassin", je suis conscient qu'on ne rigole pas dans la société de consommation capitaliste ! Je suis convaincu que l'issue est dans une prise en main individuelle de ses faiblesses, de ses désirs et de ses pulsions, et pas d'en faire un système social, une idéologie.
Je redoute cette instauration sournoise, puis l'installation opaque, d'une anarchie BCBG, forte de sa "préexistence" fatale !
Ceci dit Alain Duhamel est maladroit d'un point de vue stylistique (par rapport à un Jo le Guen toujours concis, avec constance dans son ciblage) mais j'ai bien dit qu'il avait le grand mérite de réconcilier avec le débat politique par son enthousiasme et sa bonne foi apparente (et son travail EST d'apparaître et de faire apparaître).
Quant à Jean François Kahn, j'ai énormément d'admiration pour son indépendance (le journal Marianne est l'un des derniers pour ne pas dire le seul sur ce créneau, qui ne soit pas aféodé à un grand groupe financier). Et puis je trouve que son équipe effectue un excellent travail de *collection* de l'info : ce sont les champions des "brèves" qui tuent ! Les "modérés" ont droit à la parole, JFK est là pour ça (pas celui que la CIA a fait assassiner, le nôtre !!!)
Pour Marcel Gauchet j'y reviendrai, car là on change de catégorie (on quitte les poids coqs)... Et je ne connais pas encore assez le sujet ...
"Commenter la politique, c'est se donner les moyens de la comprendre voire de l'expliquer, sans pouvoir échapper à son propre point de vue, sa subjectivité, son engagement. Bref, c'est évidemment faire de la politique." disais-tu ...
Objectif : trouver un engagement qui ne soit plus dans la tchache ...
Les petites formules (c'est le standard en politique : 8 secondes, 15s si on est connu) à la Hollande c'est de la roupie de sansonnet (et pourtant Jah sait que j'aime les oiseaux, mais pour leur chant, artistique toujours !) Les idées "de gauche" méritent mieux, je trouve. Surtout quand on se souvient des femmes, "socialistes" en herbe, qui se couchaient par terre, entre les gendarmes à cheval et leurs compagnons, les ouvriers/paysans armés de piques, pour amorcer la grève ! (... j'ai vu ça dans un film en zappant y'a pas longtemps, ça m'a scotché.)
Depuis que j'ai observé la trajectoire de Cohn Bandit je suis passablement inquiet sur cette faculté de s'enliser dans le verbiage quand on est un acteur politique... Le spectacle grand-guignol des Verts (puisqu'il semble que l'écologie ne passera que par ce mvt établi) ça me fait penser aux créations d'associations qui partent d'un élan collectif, et qui, statuts & règlements internes aidant (si on peut dire) se retrouve dans une ornière, sclérosée par les digressions internes et les jeux de pouvoir intestins (masculin - peu usité !) Des mots, des maux !
Faire de la politique pourquoi pas, mais il faudrait inventer un mot pour dire "politiquer", c-à-d construire, faire le ménage, contrôler et agir !
(et aussi ÉLAGUER dans le maquis juridique, comme je t'en parlais y'a peu : tout ce fatras qui nous vient de Napoléon aurait bien besoin d'un reformatage, d'une défragmentation d'urgence !)
Pour finir sur une note douce-amère : on se souviendra de notre civilisation comme de celle qui a tragiquement fait l'erreur de miser sur la fission au lieu de la fusion !
Cela de tous les points de vue, individuellement (le divorce plutôt que l'extase...), socialement ("diviser pour régner", ou se rebiffer dans son coin plutôt que ménager un espace collectif), comme en physique : la fission nucléaire dégage des pollutions radio-actives pour des siècles, tandis que la fusion des atomes non. 2006 commencera les travaux... tout doucement... tout doucement... tout doucement... Hé y'a des frais, pour arrêter les frais !)
(Bouchez vous les oreilles), voilà mon dernier coup de gueule perso :
Y'en a marre des camions sur les routes, des camions pleins, des camions vides (les pires : ils doublent) sur toutes les autoroutes toutes neuves ! MARRE ! METTEZ LE FRET DANS LES TRAINS BORDEL ! (si ça n'sert à rien, ça soulage...)
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Le 20/11/2003 à 11h31 (213.46.***.***) |
Lionel @ Fox et al. -
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Mon rapprochement Le Guen-toi se plaçait essentiellement dans la dimension affective et non politique, précisément !
Pour le reste, tu sais bien que l'option que je défends est celle du dépassement de la logique conflictuelle comme logique politique principale. Alain Duhamel fait partie des commentateurs politiques qui vont dans ce sens également. Tu l'amalgames avec Jean-François Kahn (tous dans le même sac, allez donc) mais ils ne défendent pas les mêmes options. Note en passant que Duhamel est publié dans Libération, pas dans Le Figaro. Quant à ta considération selon laquelle chacun sa spécialité et les vaches seront bien gardées (que Duhamel choisisse entre commentateur et acteur de la politique), je la trouve bien normative et déconnectée du réel: tout le monde fait de la politique (même sans le savoir, comme le Jourdain gentilhomme). Commenter la politique, c'est se donner les moyens de la comprendre voire de l'expliquer, sans pouvoir échapper à son propre point de vue, sa subjectivité, son engagement. Bref, c'est évidemment faire de la politique.
Je regrette d'avoir fait une petite erreur dans mon lien sur l'article du Monde sur le livre de Marcel Gauchet. Le revoici en état de marche: http://www.lumbroso.fr/divers/Le_Monde_fr_Gauchet.htm">L'Etat face à "l'individu total" Cet article éclaire bien le sujet principal de Gauchet, qui rejoint précisément ma réflexion depuis 2 ans. J'en ai parlé ici, en évoquant le rééquilibrage, voire le renversement, au cours des 35 dernières années, du rapport de forces individus-institutions au profit des individus. Voici des extraits significatifs de cet article de la journaliste du Monde, Alexandra Laignel-Lavastine, sur le livre de Gauchet :
Marcel Gauchet est devenu une référence incontournable pour tous ceux qui s'inquiètent des pathologies liées au développement de l'individualisme démocratique.
Qu'observe en effet le philosophe depuis une dizaine d'années ? Que nos démocraties victorieuses sont aussi malheureuses. Nous sommes certes sortis de l'âge totalitaire où l'individu se voyait nié au profit du collectif. Mais pour entrer dans ce qu'il nomme "la deuxième crise de la démocratie".
Nous basculons, autrement dit, vers l'autre pôle, le principal danger venant désormais de l'affirmation sans limites d'individus qui estiment ne rien devoir à la société mais exigent tout d'elle, comme en témoigne la demande sécuritaire. Bref, "nous ne risquons plus l'Etat total, mais la déroute de l'Etat devant l'individu total", explique Marcel Gauchet dans La Condition historique. L'enjeu est de taille, la question étant de savoir dans quelle mesure l'exercice de la politique reste envisageable dans ces conditions.
Cette analyse ne fut pas sans susciter divers malentendus, le plus récent consistant à y soupçonner une pensée de déclin. C'est dire l'opportunité de ce passionnant livre d'entretiens, un exercice auquel François Azouvi s'était déjà livré avec Paul Ricœur en 1995. Néo-réac, Marcel Gauchet ? "Je suis démocrate et socialiste parce que je pense qu'il est possible d'aménager le fait libéral dans le sens du gouvernement des hommes par eux-mêmes et de la justice sociale." Un chantier qui, selon lui, passe par une priorité : la réforme de l'Etat. [...]
Ainsi voit-on mieux se dessiner le fil conducteur d'une œuvre tout entière consacrée à explorer les conséquences de ce bouleversement majeur que représentent la sortie du religieux et l'avènement du sujet moderne. En somme, le portrait d'un esprit libre doublé d'un homme de gauche débarrassé des illusions de la radicalité critique.
Le fait majeur, c'est celui-là, cela ne fait aucun doute pour moi : l'aboutissement de siècles de démocratisation et d'individualisation (les 2 évolutions vont de pair). Et la tentation à laquelle nous n'avons pu échapper, c'est celle de celui que Gauchet appelle individu total ("j'ai le droit de ci, j'ai le droit de ça, je veux ci, il est intolérable que, je suis en colère et je vais le montrer", etc.). Il n'y a pas de solution de ce côté-là, bien évidemment, mais il ne peut de toute façon pas y avoir de solution à ce problème majeur quand le diagnostic est erroné. Et le diagnostic incriminant l'"ultralibéralisme" comme source de tous les maux est grossièrement erronné. Ou alors il serait juste s'il était accompagné d'un commentaire précisant bien que ce sont tous les individus qui sont victimes d'un désir d'ultralibéralisme quant à leurs droits individuels (comme le commentait Djoss ici il y a quelques jours).
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Le 20/11/2003 à 01h41 (212.47.***.***) |
Fox -
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Le titre entier c'est "L'honneur perdu de certains capitaines" ... Je trouve ça très exotique, très désuet tout en sentant la poudre à canon et l'air du large... très poétique en fait ! Mais si politique ...
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Le 20/11/2003 à 01h26 (212.47.***.***) |
Fox @ Lionel -
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Tu cites Hollande : Lionel, je croyais que ce forum était redevenu celui de la politique ! (sorry, ça m'a échappé ! !!)
Le Gal Fox dans le film de Eric Rohmer (l'Anglaise & le Duc) ou Michael J Fox dans le (mauvais) film de Brian de Palma hier : oui, ça me fait penser à moi ... également ...
mais pour J. le Guen c'est différent (même si je le crois très fréquentable) : il ne faudrait pas mélanger politique et affection (demande à Nyto ou à Fabio 
Voici la suite de son communiqué : http://www.keepitblue.net (où il est question d'Honneur)
"Le tribunal de Brest a saisi l'opportunité qui lui était proposée par la nouvelle loi sur les dégazages, déballastages et autres rejets illicites.
Le capitaine et l'armateur du CMA-CGM VOLTAIRE, qui avait été surpris en flagrant délit de rejet d'hydrocarbures le 27 mai dernier, ont été condamnés à payer une amende de 100 000 euros et à verser 10 000 euros à chacune des parties civiles, Vigipol, syndicat de communes du Finistère et des Côtes d'Armor, France-Nature environnement et SPAMM, le syndicat que nous avons créé en début d'année pour pouvoir continuer devant les tribunaux le travail accompli par Keep it blue.
Ce message va être reçu 5 sur 5 par le monde maritime. Jusqu'ici le montant des amendes était très faible et prêtait à sourire.
[...] Première décision exemplaire donc, suivie d'une demande du procureur d'une amende de 250 000 euros pour rejet illicite d'hydrocarbures dans l'affaire du cargo bulgare Dobrudja pris en flagrant délit au beau milieu du Golfe de Gascogne le 30 juillet dernier.
Dénégations du capitaine comme d'habitude.
Le procureur, nullement impressionné, a déclaré que la prochaine fois le montant demandé serait encore plus élevé.
[...] La compagnie CMA-CGM, qui n'aurait, à l'en croire, rien à voir avec le CMA-CGM VOLTAIRE, a décidé de se constituer partie civile pour atteinte à son image.
Tant qu'à utiliser des pavillons de complaisance, le bateau est immatriculé au Libéria, et des sociétés-écran, le bateau appartient à une société allemande, autant changer de nom, le petit peuple s'y retrouverait plus facilement.
Vouloir prétendre que la CMA-CGM, premier armement français, 6ème armement mondial, n'a rien à voir avec le CMA-CGM VOLTAIRE, c'est vraiment prendre les populations locales pour des demeurés ce que font régulièrement les commandants de navires à la barre des tribunaux en niant farouchement l'évidence.
Ils sont curieusement et systématiquement soutenus par l'Afcan, l'association française des capitaines de navires, qui, dans un communiqué récent, a été jusqu'à reprocher aux parties civiles de "politiser de tels évènements ce qui ne portera pas honneur à notre nation".
V'là-t'y-pas qu'essayer de réduire les pollutions deviendrait un acte anti-francais.
On nage en plein pétrole et en plein délire.
Que le monde maritime fasse le ménage dans ses rangs et on s'occupera d'autre chose.
1200 navires de commerce ont fait naufrage depuis 1997, 4 par semaine en moyenne depuis 6 ans.
Qui viendra affirmer que le transport maritime est bien géré ?"
JO LE GUEN
Hé oui, c'est pas toi ou moi ou Jo qui pourront lutter contre le manque de probité du monde des affaires ! ... Là ça n'est à personne d'autre qu'au procureur de le faire, et le reproche contre les altermondialistes de Duhamel (parmi une foule d'autres vindicatifs) est non fondé : le pouvoir (d'agir concrètement) n'a jamais été dans les colloques ! ... Il est dans l'urne ou dans la rue, ou du côté des forces de l'ordre pour ce qui est entériné.
Quand on veut démêler un paquet de nœuds il faut bien commencer par attraper un bout : l'altermondialisme est une possibilité (à condition de ne pas s'institutionnaliser à son tour). N'oublions pas que c'est une mode qui fait suite à la "net-économie", (une bulle qui a déjà éclaté) perpétuel mouvement du balancier ...
Ce qui me plait chez Alain Duhamel c'est qu'il semble être, dans les médias, le seul (avec Arlette Chabeau, mais qui est moins dupe) non seulement à croire dans la politique politicienne, mais en plus à visiblement aimer ça (et c'est parfois contagieux ! ;-) ...)
"La prochaine étape de leur action, l'ennemi à détruire, c'est le compromis élaboré à Bruxelles par les conventionnels sous la houlette de Valéry Giscard d'Estaing. Voilà le moulin à vent qu'ont choisi de combattre les Don Quichotte altermondialistes. C'est ce qui s'appelle se tromper de cible et commettre le plus gros contresens actuellement disponible sur le marché des idées."
J'apprécie là le 2nd degré ... MAIS qd même ...
" Les Conventionnels" ? Je rêve ? C'est un parti médiocrate actif et virulent, ou une réminiscence des partisans d'un Convention éteinte ?
Don Quichotte il n'y en a eu, et il n'y en aura jamais qu'un ! LE Don Quichotte de Cervantès existe là, maintenant, tout de suite ! Respect SVP ! (pas de déni culturel, de bâtardisation des chefs d'oeuvres constatés !... et sa solitude au Chevalier, c'est ce qui le définit, ça n'est pas que je veux chipoter...)
C'est ce qui s'appelle du Duhamel, ce qui est dit là. C'est mieux d'avoir le courage de sa subjectivation plutôt que de se poser en "donneur de leçon" dans l'absolu ...
"dans le monde réel, cela s'appelle une double erreur d'évaluation." et rebelote ! Il dit presque : "je suis le garant du réel !" au moins il ne manque pas de culot ce commentateur invétéré !
"Ils ont donc présenté à leurs troupes indignées et crédules le projet actuellement en discussion comme une «constitutionnalisation du libéralisme». C'est très exactement l'inverse de la réalité mais pour échauffer les esprits et les cœurs contre le camp d'en face, il n'est pas inutile de le défigurer et de le diaboliser. Ce n'est ni très honnête, ni très malin."
Duhamel est malin mais pourrait-il m'expliquer le très exact "inverse" du libéralisme ?
"Diaboliser" ça fait un peu réchauffé (ref. -erased-)
Alain n'est pas un utopiste mais un naïf : il croit en une constitution qui mouline au libéralisme "préexistant" tout en ayant une batterie de plug-in sociaux inside !
Mais il y a tant à faire. Parfois il faut trancher. Faire des choix (ce qui n'est pas le fort des "commissions", et du microcosme politique...
Je trouve le concept de "révolutionnaires sans révolution" à peine du niveau d'une chanson de Daho ("réévolution"). Tout ça me fait penser aussi à cette particularité française qui veut que les critiqueurs littéraires, soient également des auteurs, et qui travaillent souvent dans l'édition.... De même, journalisme et politique vont un peu trop de paire ... Excuse moi, mais je préfère voir l'ami Duhamel (et de loin !) de l'autre côté du micro ... plutôt qu'en leader des "conventionnels" ! (Déjà que JF Kahn milite pour que les "modérés" se fassent entendre !(bruyamment !) ... remarques c'est pas si naze comme idée, ça s'appuie sur de l'évanescent, du fluide. L'immanent, à défaut d'imminent !)
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Le 19/11/2003 à 22h40 (80.11.***.***) |
Nebo @ Jc -
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Pour sûr...je trouve aussi que la langue Française est belle. D'abord c'est celle que je maîtrise le mieux...mais pas seulement ! Je jouis LITTÉRALEMENT lorsque je lis des textes Classiques de Flaubert, Rimbaud, Lautréamont, Camus...etc...Un peu de lecture et on tombe sur la Rocaille du midi (Pagnol), le rêve incarné (Nerval), la Folie comme norme de la lucidité (Artaud), la Sologne intérieure (Alain-Fournier), le désespoir d'être (Sartre), la joie d'être (Onfray), le sourire incarné dans l'écriture (Montaigne), l'esprit Critique (Voltaire), la légerté dans la découverte de l'Universalité (Diderot), l'Esprit Français à la rencontre du monde (Montesquieu), la danse de l'âme dans un corps léger (Sollers), la découpe au scalpel de la condition humaine (Céline), etc...etc...
Mais le Chinois...c'est également pas mal du tout !!!
Le mot "homme", par exemple, avec un "h" minuscule !
http://www.lecabinet.com/img/xia_homme.gif">
"tian" est la partie du haut. Elle représente un champ vu de haut avec ses réseaux d'irrigation. La partie du bas, "li", représente un tendon et symbolise la force. Donc, si on additionne le champs et la force, on arrive au mot homme.... Et le mot "Homme" avec un "H" Majuscule se dit "Ren"...et s'écrit simplement ainsi, avec deux jambes !
http://mapage.noos.fr/rferreol/chine/c8cb.gif"> Mais attention...presque le même idéogramme "Ren" avec deux barres parrallèles se dit "Fou"...et signifit aussi "Homme"...mais dans le sens de l'action lié au travail et à l'effort sur soi !!! Comme dans un combat.
http://mapage.noos.fr/rferreol/chine/b7f2.gif"> Ainsi, "Gong"
http://mapage.noos.fr/rferreol/chine/b9a4.gif"> signifiant travail...suivi de "Fou"... http://mapage.noos.fr/rferreol/chine/b7f2.gif"> Signifie bien "Travail Homme"...en fait "KUNG FU"...: TRAVAIL SUR SOI ! EFFORT SUR SOI ! "Djihad" à la Chinoise !
...C'est un autre monde...mais c'est passionnant ! On rentre dans le sens du sens lui-même !
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Le 19/11/2003 à 11h36 (213.46.***.***) |
Lionel @ Nyto et al. -
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Aaah, que voilà une contribution que j'apprécie beaucoup plus ! Merci de ton clin d'oeil, camarade Nyto, et au vu de la succession de nos 2 contribs, on aurait peut-être un bon duo multiusage de type bad cop/good cop à monter. 
On l'aura compris, je me permets de tancer gentiment la forumade parce qu'il me semble important qu'au sein d'un ensemble de forums remarquablement vivant, notamment par la grâce de notre cher Berti national, le Bleu reste caractérisé par des contributions un peu plus réfléchies et liés à son thème explicite, "Politique et société". On a bien vu que ce thème pouvait/devait déborder de façon cohérente sur des questions philosophiques, historiques, spirituelles ou religieuses, mais je crois qu'il faut éviter d'en faire, même pour quelques jours (parce que tout ça peut dégénérer assez vite), juste un espace de convivialité comme un autre.
Relance : j'ai noté ces derniers mois et semaines avec intérêt des voix moins "politiquement correctes" qu'avant s'élever à gauche pour condamner plus nettement le gauchisme et l'altermondialisme, même si le suivisme peu glorieux des partis de gauche vis-à-vis du "Forum Social" est encore très marqué. Ainsi a-t-on pu noter il y a quelques temps dans la bouche d'un François Hollande souvent plus confus une déclaration aussi nette que "La Droite est notre adversaire, l'Extrême-gauche est notre ennemie".
Ce matin, le fin chroniqueur politique Alain Duhamel signe dans Libération un fort pertinent papier intitulé http://www.liberation.fr/page.php?Article=158737" TARGET="_blank">Le contresens des altermondialistes qui met lui aussi bien mieux les points sur les i sur cet important thème. (Car on n'avancera pas vraiment sans avoir déconstruit -- aussi -- l'altermondialisme, jusqu'à faire le tri entre un certain nombre de questions pertinentes qu'il pose et 1) la logorrhée catastrophiste et mélodramatique qu'il pratique à outrance et 2) la posture de normativité morale mâtinée d'élitisme identitaire dont il est coutumier.)
Sur le plan de la réflexion sur l'époque, j'ai noté avec beaucoup d'intérêt la recension dans les journaux ces derniers temps du livre "La Condition historique" de Marcel Gauchet, que j'ai commandé, reçu et que dont je viens d'entamer la lecture. Tout à la fois philosophe, historien et sociologue, il est à 57 ans le type même de ceux de ma/notre génération, se voulant héritiers des Lumières, qui se sont donnés pour mission d'essayer de faire une synthèse de ce qui est à l'oeuvre dans notre civilisation et qui semble marquer le passage d'une étape importante, notamment la coda du phénomène religieux et l'avènement du sujet individualisé. J'en dirai probablement plus après l'avoir lu, mais voici déjà un petit article du Monde intitulé http://www.lumbroso.fr/divers/Le_Monde_fr_Gauchet.htm" TARGET="_blank">L'Etat face à "l'individu total" et le http://www.liberation.com/page.php?Article=155894" TARGET="_blank">Portrait que lui a consacré Libération il y a 2 semaines (et qui m'a fait acheter son bouquin).
PS perso pour Fox : J'ai vu ton pote Jo Le Guen au JT de TF1 hier (ou avant-hier ?), il a une bonne bouille et ça m'a fait penser à toi ! 
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Le 17/11/2003 à 23h24 (213.46.***.***) |
Lionel -
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Ah la la, suffit que je m'absente un peu pour que ça tourne de nouveau à la cour de récré, avec tous plein d'images, des contribs d'une ligne qui ne risquent pas de trop fatiguer la tête, des blagues (au fait, jc, les blagues, il y a un forum consacré à ça, c'est le Jaune), une petite annonce de rencontre interméditerranéenne, etc.
Non seulement ça, mais juste derrière, une contrib qui doit battre le record de longueur de ce forum et qui est, en plus, à moitié de la pub (et dont j'ai dû supprimer un doublon et insérer des sauts de ligne partout, pour couronner le tout !). D'accord, cette contribution est plus "on topic" (bien que ce ne soit que des reproductions d'articles, normalement ça vaut des points de malus), mais il s'agit encore de la sempiternelle question des religions !!
Comme on l'a déjà traitée en long et en large ici, je passe à autre chose : j'ai noté avec intérêt il y a quelques jours -- mais sans avoir le temps d'y répondre -- la contribution de Djoss, qui faisait une analyse géohistorique et géopolitique assez intéressante. Djoss, je ne suis pas tout à fait d'accord avec ton commentaire sur les USA qui me semble trop réducteur, mais l'accent que tu as mis sur la nécessité pour chacun de rechercher la cohérence entre sa vision du monde et son propre comportement (exemple des SICAV à la banque) m'agrée certainement et tes réflexions sur l'économie ont également retenu mon attention. Si tu veux contribuer à nouveau de façon plus focalisée sur un seul des thèmes que tu as abordé, j'essayerai de répondre cette fois-ci.
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Le 17/11/2003 à 19h42 (80.11.***.***) |
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"Sur un nouvel antisémitisme"
par Gérard LECLERC
Voici déjà plusieurs années que de bons observateurs du présent nous mettent en garde contre la montée d’une nouvelle judéophobie. Les événements de ces derniers jours ne sont sûrement pas de nature à nous rassurer sur ce point. Le double attentat qui a détruit deux synagogues à Istanbul, entraînant la mort de vingt-trois personnes et faisant trois cents blessés, samedi matin, constitue un avertissement dramatique pour ce pays musulman, laïque, où vit une communauté juive de 35.000 séfarades. Même si l’acte criminel qui a détruit, le même jour, une école juive à Gagny, en Seine-Saint-Denis, n’a fait aucune victime, il n’en soulève pas moins une émotion légitime.
Alain Finkielkraut souligne à quel point la vague actuelle de violences antisémites se rapporte à une nouvelle configuration intellectuelle. Nous n’en sommes plus aux passions de l’affaire Dreyfus et à l’antisémitisme d’inspiration nationaliste qui, jusqu’à la guerre, a fait partie des fièvres françaises. La haine antijuive qui se manifeste aujourd’hui, jusque dans des réunions internationales officielles comme la conférence de Durban, se réclame de tout autres motifs idéologiques. C’est au nom de l’antiracisme que l’on condamne Israël et c’est en vertu d’un universalisme (parfois altermondialiste) que l’on s’en prend à la particularité juive. Voilà qui donne un éclairage nouveau sur les dérapages d’une idéologie foncièrement équivoque qui, à force de pourchasser l’ennemi du métissage, en vient à stigmatiser une tradition et un peuple devenu indésirables.
Sans doute, la non résolution du conflit israélo-palestinien et, surtout, la montée en puissance d’un islamisme intolérant et terroriste, sont-ils le terreau premier de la judéophobie qui va jusqu’à la violence terroriste. Pierre-André Taguieff a déjà rassemblé un dossier assez ahurissant de textes diffusés dans le monde entier au nom de cet islamisme, et qui reprend à son compte la thématique mensongère et désastreuse des trop fameux “protocoles des sages de Sion”.
Mais il est une autre dimension du phénomène, créant un contexte qu’il nous faut prendre en compte. En effet, toute une partie de la communauté juive en France s’interroge sur son avenir. Certaines incitations à quitter notre pays trouvent même parfois écho dans un climat qui va jusqu’à l’anxiété. Nous ne pouvons rester indifférents à une telle interrogation.
Jean-Claude Milner, très remarquable intellectuel, dans une intervention pathétique, se demande si, en définitive, l’Europe n’aurait pas fait son deuil de cette présence incongrue que constituait la masse des juifs pieux d’Europe centrale. Ce faisant, il met en cause les chrétiens et la réalité de leur conviction à l’égard du peuple de l’Alliance, mais aussi toute une culture laïque, inapte à recevoir et à comprendre la réalité d’une telle intrusion du miracle juif dans l’Histoire.
Saurons-nous répondre à un tel défi, nous autres chrétiens, qui avons reçu de nos frères aînés, le sens d’une promesse qui a bouleversé nos vies ?
Gérard LECLERC
Un évêque juif à Jérusalem
par Robert MASSON
Ce fut un moment et qui fera date. Un dimanche de novembre était ordonné un évêque d’origine juive et qui aura en charge des chrétiens de même origine sur la terre qui fut celle de Jésus. Un évêque juif, le premier depuis l’apôtre Jacques, frère du Seigneur. Jean-Baptiste Gourion il s’appelle. Il était et demeure à ce jour le père abbé d’une fondation bénédictine dont l’implantation dans les années 1975 avait pris valeur de symbole. Don Grammont, alors abbé du Bec-Hélouin, avait tenu à envoyer plusieurs de ses frères à Abbu Gosh. Un lieu de l’Histoire Sainte comme il y en a à chaque pas ou presque sur cette Terre que Dieu a visitée de tant de manières. On était en ces temps dans le souvenir proche du malheur juif qui ne pouvait laisser indifférent la conscience chrétienne. Nombre de chrétiens entendaient renouer avec la racine spirituelle d’Israël, ce que saint Paul appelait le vieux tronc dont nous sommes les rejetons. A l’enseignement du mépris dont parlait un historien succédait le temps du dialogue. et aussi de la douleur. Un quart de siècle a passé et des gestes de portée prophétique ont ouvert une ère tout autre dans la compréhension judéo-chrétienne. Le Pape est allé à la synagogue de Rome pour redire que les juifs étaient nos frères aimés et très aimés. Le voyage de Jean-Paul II à Jérusalem fut comme le couronnement d’une démarche chrétienne qui, dans la repentance et les larmes, prenait résolument le chemin des sources qui s’inscrit dans les logiques profondes d’une Eglise.
Mais l’Histoire n’est pas devenue plus propice à la compréhension entre les hommes ni même entre les croyants. Une guerre ravageuse sévit de manière endémique entre Israéliens et Palestiniens. C’est une sorte de guerre de cinquante ans dont on ne voit pas la fin. Elle met à mal tous les hommes de bonne volonté qui se désespèrent de voir le cours implacable des choses. L’Eglise comme toutes les composantes de ces deux peuples, israélien et palestinien, est déchirée et menacée dans son être même. Le cardinal Etchegaray, était venu de Rome pour signifier au plus haut niveau le sens de cette ordination épiscopale et son immense portée. Mais il n’entendait rien ignorer des mortels tourments de l’heure. Alors qu’elles se montrent tragiquement séparées, le cardinal venait dire, au nom du Pape, à toutes ces communautés : “Laissez-vous réconcilier, comme y invitent ici l’Histoire et le Dessein divin”. Pour bien montrer cette volonté, le cardinal s’était fait pèlerin à la grotte de la nativité du Christ à Bethléem. “J’ai arpenté, soulignait l’envoyé du Pape, les sites palestiniens où l’autorité militaire israélienne est en train d’installer une clôture dans le but de mieux protéger Jérusalem en encerclant Bethléem. Je souscris, souligne le cardinal, aux protestations de nombreux chefs d’Eglise” des diverses confessions contre un projet aussi intolérable.”
Dans tout le pays, une barrière de séparation de 150 km dessine inexorablement une géographie d’apartheid qui excite plus qu’elle ne maîtrise la violence, lacérant le tissu humain avec de graves conséquences sociales, économiques, éducatives et sanitaires. La lutte contre un terrorisme lancinant exige, pour aller jusqu’à ses racines, la collaboration obstinée et loyale de deux peuples à la recherche d’une même paix. Les raisons de la paix sont encore plus pressantes en Terre Sainte parce qu’elles doivent s’ouvrir à la vision messianique où Justice et Paix s’embrassent pour le bonheur de tous, comme le chante un psaume davidique.
“Israéliens et Palestiniens, disait en conclusion le cardinal, plus je vous rencontre sur votre propre sol ensanglanté et plus je sens à quel point vous avez besoin de paix. Vous aspirez à la paix, mais je ne sais comment le crier par-dessus vos toits à tous les peuples du monde qui n’ont pas encore payé assez le prix de leur solidarité fraternelle avec vos souffrances et vos espoirs. Bon courage, concluait le Cardinal, à tous ceux qui avancent sur le long chemin de la paix à coups de petits gestes de raison et de pardon”.
Le moins qu’on puisse dire, c’est que l’Eglise en la circonstance prêchait l’exemple. L’attention qu’elle porte aux chrétiens de tradition hébraïque n’occulte pas le souci qu’elle a du monde arabe. La présence et les propos de Mgr Sabbah, le patriarche latin de Jérusalem, étaient évidemment le signe d’une Eglise dont le cœur est sans partage. Le patriarche arabe, et donc palestinien, accueillait avec joie son nouvel auxiliaire, qui aura plus précisément le souci des petites communautés hébraïsantes : “Père Jean-Baptiste, disait le Patriarche, vous allez bientôt être porteur, au cœur de cette Terre, de ce qu’elle manifeste de Dieu. La société israélienne est à la recherche de la paix et de la sécurité. Dans cette recherche, vous évêques de la communauté hébraïque, vous l’accompagnerez, vous marcherez ensemble dans le partage des mêmes souffrances. C’est en Dieu que se trouve notre père.”
Ce Dieu dont parle le patriarche Sabbah ne se révèle pas au fil de l’épée et des attentats. C’est à la mission qu’Il nous appelle et non au prosélytisme.
Quand on confond les plans, observe le Patriarche, c’est nous qui nous faisons présents, mais Dieu est absent. Nous faisons œuvre humaine, nous pouvons faire des adeptes mais non pas des croyants. “Le monde en effet n’a pas besoin d’adepte.” C’est vrai sous tous les cieux du monde où l’Esprit nous précède et pas forcément là où on l’attend. Un des frères d’Abbu Gosh est mort ces dernières années au cœur de sa vie. Dans l’hôpital de Jérusalem où il revivait le mystère de la Passion, ce jeune moine, qui se mourait, n’avait plus tellement la parole. C’était par tout son être qu’il était disciple et rien de sa présence ne s’est effacé de ceux qui ont eu la grâce de le connaître. Les temps sont durs pour tout le monde sur la terre de Jésus. Et il reste à tous d’implorer du ciel la grâce des entendements divins. Cette grâce qui refait de nous des enfants d’Abraham. Ce qu’il attend, ce sont des fils réconciliés comme c’était le cas en la circonstance ce dimanche d’automne où il y avait dans l’air comme une lueur de printemps. Parce qu’un évêque juif était ordonné par un patriarche arabe.
Robert MASSON
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Le 17/11/2003 à 17h54 (195.93.**.*) |
nono @ felix -
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il est passe par ici et repassera par là..........ça marche sauf qu'il faut que je recharge la page pour avoir les news du jour!!!????
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Le 17/11/2003 à 12h31 (195.93.**.*) |
nono -
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sauf que je ne vois pas ce que j'ai ecrit, je suis obligé d'aller ailleurs et de revenir!??????
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Le 17/11/2003 à 11h52 (194.196.***.***) |
Pioupiou @Nono -
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Pas de problèmes pour moi avec le vert et le rose. Désolé de ne pas pouvoir t'aider plus Nono
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