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Le 07/11/2003 à 09h16 (212.47.***.**) |
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http://cqfd.chez.tiscali.fr/Foxitude/2visu/singecool.gif">
TENEZ BON... LA SEMAINE EST PRESQUE FINIE !
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Le 05/11/2003 à 14h12 (213.103.**.***) |
jc @ tous -
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J'avais deja mis cette citation dans une de mes precedentes contrib, je la remets avec plaisir, c'est un beau sujet de reflexion ( ) "Un beau livre, c'est celuiqui seme à foison les points d'interrogation." Alors?
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Le 02/11/2003 à 18h34 (195.93.**.*) |
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Le 02/11/2003 à 17h31 (212.11.**.**) |
Wolfie -
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Je viens de faire un tour sur le site officiel de M.Houellebecq, et j'ai relu, sous la rubrique "actualité" l'article sur Schopenhauer.
Comme le petit " Lefevre-Utile" d'un pseudo Proust breton, il me revient en mémoire la lecture de Mr Arthur. Je me dis que peut-être...
Peut-être que le sage verbe "apprécier", fils de l'adjectif inconstant: "précieux", prend son véritable sens SI...
Il prend son véritable sens SI l'on est conscient que tout est désespéré sans être grave.
Le précieux de l'instant, l'instantané figé. Je Suis et j'Aime être.
Etre et savoir humer. Bonheur et plaisir sur une durée ne dépassant pas l'angström pour démultiplier à l'infini cette longueur non monotone.
Juste deux phrases follement délicieuses, enivrantes et paradoxalement optimistes:
"Si j'étais roi, l'ordre que je donnerais le plus souvent et avec le plus d'insistance serait celui-ci: Laissez-moi seul !". J'ajoute, si je le veux.
"Aujourd'hui est mauvais et chaque jour sera plus mauvais, jusqu'à ce que le pire arrive."
Lisez et relisez Schopenhauer. Faîtes fî des apparences ou des idées toutes faites. En soutien des oeuvres, "le vocabulaire de Schopenhauer" d'Alain Roger aux éditions Ellipses.
C'est sans doute un des philosophes le plus actuel, enthousiasmant et abordable.
Et si, comme moi, vous pensez que le Spleen est soluble dans la Dés-espérance, racontez-vous les derniers aphorismes de Cioran. HILARMOYANT.
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Le 02/11/2003 à 15h42 (212.47.***.***) |
Fox -
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Milles tonnerres & ventres saint gris ! Shame on me ! C'est vraiment pas malin de citer des répliques célébres en bouffant les mots, et en se fiant à une mémoire vacillante ... Je la refais, donc (si vous permettez... - Moteur !) :"Les cons ça osent tout, c'est même à ça qu'on les reconnait" (Michel Audiard)
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Le 02/11/2003 à 15h08 (213.103.***.***) |
jc @ wolfie -
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"Et puis, pour en finir, dans le même genre. Je signale à tous les intervenants qui ont l'air de se sentir isolé. Je ne connais personne dans ce forum, je suis un électron libre venant de nulle part et y retournant allêgrement, j'aime écrire et quelquefois, trouve plaisir à manier les môts c'est tout.
En conclusion, je lis toujours toutes les interventions, écrire et lire est de toute façon, une forme d'intelligence et de réflexions. Vous qui écrivez, soyez conscients de votre chance. Continuez." C'est très beau et merci de le dire (et continue aussi a le faire!!)...c'est pour ça que je prend du temps pour reagir, ça me parait important, effectivement, j'estime que c'est une chance et je prefere dire des conneries que de ne rien dire, j'ai tout a y gagner et tout ce qui se passe ici est de toute maniere saint, c'est de l'echange point. Sans arriere pensée, sans propagande, à fleur de peau...une forme de verité que j'exprime gratuitement, sans peur de represailles ni de rancoeur. Donc je vais continuer comme tu dis et fais le toi aussi.
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Le 02/11/2003 à 15h03 (212.11.**.**) |
Wolfie -
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Et puis, pour en finir, dans le même genre. Je signale à tous les intervenants qui ont l'air de se sentir isolé. Je ne connais personne dans ce forum, je suis un électron libre venant de nulle part et y retournant allêgrement, j'aime écrire et quelquefois, trouve plaisir à manier les môts c'est tout.
En conclusion, je lis toujours toutes les interventions, écrire et lire est de toute façon, une forme d'intelligence et de réflexions. Vous qui écrivez, soyez conscients de votre chance. Continuez.
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Le 02/11/2003 à 14h19 (212.11.**.**) |
Wolfie -
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Face à ma diatribe ordinaire, voire médiocre, votre réponse est des plus intelligente Mr, pardon, Pr Fox. J'espère dorénavant avoir des choses plus intéressantes à dire.
Juste une chose, pour Audiard. "Les cons ça osent tout", le "tout" dans la phrase, est primordial et définitif.
Kenavo.
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Le 01/11/2003 à 15h39 (212.47.***.**) |
Mr Fox @ Mr Wolfie -
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C'est à croire que, dans un sens, la lénifiance de mon discours (mathématique) n'opère pas vraiment, puisqu'il peut énerver... (Et je me dis que cette vitalité doit bien avoir un fondement, donc elle ne m'agresse pas, mais me bouscule plutôt... Ce qui m'évite d'avoir des fourmis dans les jambes (heureusement parce que, honnêtement, je ne fréquente pas bcp les salles de sport. )
Si anti-phrase il y avait, je vois très bien ce que ça peut donner : "complaisance intéressée" (=vénale) devient "indulgence gratuite, tolérance absurde, veule" ?
Allusion à cette propagation incroyable d'une insolence bornée, à cette nuisance à la petite semaine ... Cette outrecuidance moderne si peu empathique (cf. cracher par terre) que je déplore, et qui me désole parfois. L'illusion des lascars : On peut scander bien (gangsta rap) et n'avoir toujours rien à dire, au fond. Savoir répliquer demande un peu plus de convictions (que de postures).
Or le terrorisme est tout sauf affaire de bouffons. Le véritable terrorisme n'existe que parce qu'il y a une revendication à la clef. Il ne se manifeste officiellement que parce qu'il propage des idées, (je devine les yeux du loup qui virent au rouge ) que l'on pourra s'attribuer. Bref : sans ramdam (racine = ramadan | rien à voir...), sans repercussion médiatique il n'a aucune raison objective d'exister !
J'ai toujours pensé que la méchanceté provenait d'un manque d'inspiration chronique, d'une sclérose de l'imagination. La riposte radicale à cette récession, à cette pathologique "croissance négative" (comme dit Raffarin, qui ne doute de rien), restera l'épanouissement de la personnalité...
["Un con c'est celui qui ose, c'est même à ça qu'on le reconnaît" (Audiard)].
La violence, commerciale (car même l'actualité télévisée est un bizness en parts de marché, mais le cinéma et les jeux vidéos, bcp + encore !) s'auto-alimente presque, en se banalisant. (Le trauma devient un simple stimulus - Toutes les études concernant la violence médiatisée sont occultées ! ("non porteuses", "anti-rendement" sans doute).
LA LOI DES GRANDS NOMBRES peut difficilement être taxée de politiquement correcte
C'est une probabilité mesurable : mis à part les "accidents" (rares), à chercher des noises (et à les trouver), on en augmente progressivement la fréquence.
(On dit aussi que "c'est la loi des séries" : les "événements" se rapprochent).
J'ai un peu dilué le message, mais mon propos c'était surtout de dire que la vie des gens ("des tas de gens"... hum, évocation morbide) cette existence de tout un chacun, mériterait un traitement moins mécanique dans "la messe du JT". Voilà tout.
Mais c'est déjà énooooorme comme revendication !
En tout cas je me réjouis que vous évoquiez un pilote dans l'avion qui ait "les yeux ouverts" (au pluriel !) ... (je decooonneuuu ! )
Vous dites : "Je pense que la déstabilisation est en marche, point."
Je redoute moins la "déstabilisation" que le "déni d'humanité", banalisation de la souffrance (fil conducteur d'un JT), tolérance de l'intolérable.
Il y a dans le regard de Béatrice ou de Claire, quand on revient à elle après un sujet filmé, un vide émotionnel (tout simplement trop court pour être pris pour de la compréhension) qui m'effraie. Qui m'insulte en tant qu'être humain sensible, qui me prend à rebrousse-poil. A de nombreuses reprises, quotidiennement (pour autant que je sois devant ma TV).
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Le 01/11/2003 à 15h29 (212.47.***.**) |
Fox @ Lionel -
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Comme souvent
tu me rassures :
l'individualisation omniprésente semble une bonne riposte
au panurgisme,
ce qui constitue déjà une bonne nouvelle en soi
...(même si l'auto-panurgisme libéral , propagande/pub
oblige -jusqu'à plus soif- est au moins aussi bien ancré
que celui d'obédience altermondialiste ). L'humanisme
a la peu dure, il est coriace ... Cette foi là
peut sûrement sauver de la réification, et de ces
avatars si consternants (pour tous les non-droïdes hédonistes)
. Ouf ! (cette fois-ci)
Mon souci, ma
crainte éthique, n'est pas tant la chosification, que
la dématérialisation. (Comme dans le cas de
figure : des milliards d'euros, traduction tangible d'une fourmilière
sociale en activité, possiblement volatilisés par
une action de la justice américaine à l'encontre
d'une banque d'État française ...)
LE PROGRES : "Note bien que ça n'est
pas une notion "déclarative" (le progrès
ne recouvre pas ce qu'on dit qu'on va faire) [...] ce n'est
pas un projet, c'est [...] un aspect de la nature humaine".
J'avais noté...
mais j'avais oublié (pourtant c'est pour ne pas oublier
que, souvent, je pense à noter, mais c'est dans ma nature
d'oublier... de noter ). Sans doute pris dans l'enthousiasme,
j'ai confondu *progrès* (NB au pluriel, systématiquement, funny
isn't it ?)
et *vivacité*.
En fait dans "progrès fini" il y avait une symétrie
avec "nombre fini" (sans virgule) ce qui ne signifie
nullement le point 0 (ni marche arrière -1, -2 etc.)
Bref, si le progrès n'est ni une pente ni une côte,
c'est que c'est un escalier : alors il faut y aller marche par
marche ! Un praticable vite ! contre les impondérables
! 
PERSPECTIVE :
Par n'importe quel point de fuite que la nature humaine puisse
être observée, il y aura toujours un essor chronologique
(métamorphose /croissance /épanouissement), un effort
(cyclique) à accomplir, que l'on envisage la radiance (quotient du flux lumineux qui rayonne
sa surface par son aire) d'une
âme singulière ou pas.
Je veux dire que "la nature humaine" c'est du taf !
Y. Coppens précise que l'homme, dans quelques siècles,
nous regardera en quelque sorte comme nous regardons l'homo-erectus
: avec un cerveau plus rondouillet... Homo-sapiens-sapiens
sera un complet has-been.
Le progrès dans cette perspective, ressemble à
un projet, pré-conçu et non plus aléatoire.
(Le hasard demeurant une prédestination divine assez peu
vérifiable : ça fait longtemps que Dieu a montré
aux hommes qu'il fallait qu'ils se démerdent tout seuls
dans certains registres... cf. les guerres, ou les guéguerres
(ou les vols, c'est kif).
Mais c'est certain
que le discours qui s'y attache, à ce Progrès humanoïde,
que la progression soit bénie ou maudite, est d'office
hors-sujet (c-à-d hors expérience, hors process),
avec un soupçon de vantardise (chez l'artiste) ou d'opportunisme
(chez le politicien) ! ("I'm hap-py !" ... être
simultanément acteur et spectateur relève de l'impossible.
"Arrêtons
tout", "revenons à des choses plus simples, plus
naturelles"
Relativisons : 6 milliards d'humains, c'est que dalle par rapport
à la gent des insectes ou à la luxuriance des plantes
vertes ! (qui, elles, ont l'assurance d'être vivantes,
disposent de la certitude d'exister sans avoir à se poser
de question ...)
"Un
autre monde est possible" est au bout du compte à l'opposé
de mon inclination : le monde était, est, et sera, avec
ou sans nous. C'est ... (comment dit-on "se prendre pour
Dieu" ?) farpaitement improbable que, même en masse,
l'humain puisse accoucher d'un monde dans le monde, et qui soit
viable. Plus que de l'anthropomorphisme, j'irai jusqu'à
dire, par analogie avec les récits traditionnels, que c'est
diabolique (cf. celui des 4 archanges qui voulait se mesurer au
Créateur ... a eu chaud aux plumes !)
D'ailleurs, à
ce sujet, il faut rappeler que depuis Napoléon on n'arrête
pas de rajouter des lois (le Code Civil date de là, entre
autres) et des lois et encore des lois. Moïse, à la
Pentecôte, a trouvé 10 pole-points à promouvoir
pour une bonne mnémotechnie, et le génie de Jésus
c'est de diviser par 10 le rédactionnel/concept à
promouvoir (avec une promo nickel, à la New Pentecôte).
Imparable. Tandis qu'actuellement c'est du surfait, surjoué,
décompris ! Un lien social en plastique. Surchargé.
Un ésotérisme de mauvais aloi !! (principe classique
: "je sais donc tu paies"
"la métaphysique n'est
en fait pas "méta", ce n'est pas un ordre de
réalité supérieur au monde physique, qui
englobe et explique/justifie ce dernier. Il n'y a pas de secret(s)
ultime(s) à aller chercher du côté du mystère,
de la transcendance et qui livrerait toutes les clefs sur le reste
et notamment le monde physique"
Pragmatisme alors ? Une clef suffit pour actionner la serrure
: la bonne. Une clef physique pour la serrure physique (pour ouvrir
ou fermer ?). Une clef mystérieuse, pour une mystérieuse
serrure. Une clef transcendante pour ouvrir une serrure transcendée,
déjà oubliée le seuil passé ...
L'autorité
ou l'obéissance sont aujourd'huis (clos) remplacées
par la distraction (divertissement etc. - voir converse de cet
été , la manipulation. Ne jamais oublier Pavlov,
même dans les sentiments ...
A contrario "le
concept de progrès de l'humanité recouvre la notion
selon laquelle l'homme enrichit constamment ses connaissances,
améliore ses technologies, se dote de plus grands conforts
et facilités de vie, se gouverne de mieux en mieux"
Si les consommateurs sont indubitablement déçus,
puissent les électeurs t'entendre ! (et ne plus se contenter
de satisfaire à des bouclages de castings, mais d'exiger
des consensus, et de surveiller le bon usage des richesses
! (Ex. : le thon rouge, comme les bordereaux du Crédit
Lyonnais, le tigre, avec sa sublime démarche et son extraordinaire
fourrure, comme les méandres économiques de France
Telecom !)
 (on le saura que c'est halloween ! Depuis
environ 5 ans en France, à cette période automnale
et sensible, juste avant la Toussaint. Quel bon goût ! )
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Le 31/10/2003 à 23h50 (212.11.**.**) |
Wolfie at last -
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Quoique, c'est étonnant. plus je relis Fox, plus je me relis. plus je trouve les deux discours à double sens. ERASE.
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Le 31/10/2003 à 23h40 (212.11.**.**) |
Wolfie -
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Soyons clair, votre phrase est véritablement admirable. Je m'échauffe contre la tendance actuelle l'a récusant.
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Le 31/10/2003 à 23h36 (212.11.**.**) |
Wolfie -
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Hell-o, énervons-nous, Monsieur Fox.
"Moins la violence, en règle générale, bénéficie de complaisance, plus la sérénité s'instaure, pensons-y." Admirable.
ou vivez-vous?
Mais bien sur j'y pense, qu'est-ce qui fait que quand on rentre dans certains gymnases, il faut se faire respecter pour, d'une part, dans le meilleur des cas, contrer une porte que l'on vous renvoie dans la figure, tenir tête à l'idée qu'une salle de sport est autre chose qu'un endroit où l'on crache par terre et où l'on jette les ballons dans les fenêtres. Sans parler du casse des voitures presque institutionnalisé.
J'y pense aussi quand les rares fois où j'ai pris tram, RER, et autres transports collectifs, j'ai du faire face à une violence physique ou verbale des plus extrêmes (merci à mes années de judo et self défense.)
Messieurs les tolérants par posture pour la tolérance, tel le comédien de gauche propriétaire d'immeuble à Paris, se devant d'expulser les sans-logis squatteurs, car, merde, là il ne s'agit plus d'idée mais de ses intérêts. Permettez-moi à mon tour de vous "agresser".
Votre discours lénifiant me fait penser, au mieux, au discours des diplomates face à l'apparition du Reich allemand. Et au pire, à celui des hypocrites refusant toute écart non politiquement correct dans le "dialogue républicain", sous prétexte de déstabilisation possible.
Je pense que la déstabilisation est en marche, point.
Ne pas dire de mal envers les gens qui nous offensent. Cela pourrait nous mener à constater notre faiblesse. Trop tard, c'est fait et surtout c'est su et utiliser.
Bien sur, il faudrait un pilote dans l'avion. Mais un pilote intègre aux yeux ouverts.
Cordialement, mais un petit peu énervé tout de même.
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Le 31/10/2003 à 14h49 (212.47.***.**) |
Fox -
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Le "parfum de Vérité", quand le contenant est à la hauteur du contenu, ne se retrouve pas dans les Journaux Télévisés. Comme souvent les journalistes se copient entre eux, et cette formule empressée et dédeigneuse s'est répandu dans le monde entier (encore que quand l'on se réunit à une vingtaine pour regarder la TV dans une case, on choisit mieux ses programmes et le J.T. est zappé au profit de quelque documentaire plus consistant). Mais cette formule est-elle correcte ? L'a-t-on copiée, multipliée, pour son bien-fondé ou pour d'autres raisons (plus triviales) ? A-t-on prouvé, démontré, un bon effet par son influence avant de la mettre en circulation ? Le processus se déroule-t-il dans le respect de la personne humaine ? Jetez le J.T. agité !
Il suffit que deux connards fassent les marioles avec un pistolet en plastique à la Maison Blanche, pour que, dans les foyers français ou navarrois, on reste la fourchette en l'air et la bouche grande ouverte. Effet Pavlov : certains sons, certains mots provoquent aussitôt un conditionnement, une "salivation" du cortex dressé à la curiosité ! (Processus insistant, de pire en pire, selon la Loi du Grand Nombre)*.
Aussitôt la machinerie des correspondants et des commentateurs s'est mise en branle. Et puis voilà qu'on nous dit que "c'était pour fêter" cette ineptie sciemment abominable qu'est Halloween, et que tout va bien ! Mais tout va mal, en fait : tout fonctionne correctement dans un scénario inepte bourré d'ignominie, avec une réalisation de merde.
"Le silence après une sonate de Mozart, c'est encore du Mozart" disait un fameux mélomane.
Le b-a-ba : Une intro | un développement | et une conclusion, ou un commentaire. Exigeons donc une scansion entre les infos, avec au minimum des points de suspension ! La fatalité du mécanisme "une info en chasse une autre" ne concerne pas la presse écrite, où l'on circule à son rythme.
* Loi des grands
nombres : loi concernant,
à brûle-pourpoint, la fréquence de réalisation
d'un événement présentant
une probabilité d'arriver, déterminée par
avance, et selon laquelle la
possibilité d'un écart de quelque importance, entre
la fréquence et la probabilité, diminue avec le
nombre des occurrences (des "épreuves", dit le Larousse,
toujours un peu moralisateur).
Plus on pollue (ça c'est de l'événement ! Comme les incendies depuis cet été : du Portugal à la Californie, en passant par la périphérie de St Tropez !), plus la pollution est facile et dommageable ! (cf. incidence du ratiboisage de la forêt amazonienne sur le manque d'humidité ambiant).
Inversement : moins le terrorisme fait parler de lui, moins il a d'incidence sur la vie des citoyens ! Ou encore : moins la violence, en règle générale, bénéficie de complaisance intéressée, plus la sérénité s'instaure ! Pensons-y ! Mais... "Y a t'il un pilote à bord de l'appareil ?"
Au final, soit on fait apppel à un être humain qui nous raconte, comme un griot, ce qui se passe dans le monde, avec "le talent" (ce concept canonisé par Louis Jouvet), soit on utilise un robot (telex 3D etc.) pour accomplir une tache robotique ! Par respect de la Vérité.
On pourrait aussi filmer le prompteur ... les infos y sont classées, hierarchisées, "signées" ... il ne manque plus que les transitions et les CONCLUSIONS.
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Le 30/10/2003 à 15h12 (212.47.***.**) |
fox @ jc -
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ton poème tient la route et surtout est arrivé à point nommé (pour rebondir)
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