Et puis il se trouve que le disque des Kinks (une formation un peu trop vite oubliée) c'est un de mes disques préférés (toutes catégories). Avec 20th Century Man en public : c'est un sujet sensible pour le coup.
"En 79 - à l'orée d'un nouveau chambardement (économico-politique ET culturel) - les Kinks sortent un vigoureux Live après une longue absence. One for The Road. Ils y jouent avec plus de maestria que jamais, les cassandres, y compris dans leur microcosme artistique : ils relèvent le défi jeté par les punks. Ils sont les seuls. Ils secouent l'establishment, dans le même élan (c'est une culture très populaire, au XXième siècle sur le globe, mais qui était en train de se déliter). Ils savaient aussi ronronner, dans les sixties. Ils savent tout faire, quoi."
En jouant les Erudits Rock c'est ce que j'expliquais il n'y a pas longtemps, sur une raiderie pleine de vinyls.
Franchement, c'est un monument (comme Who's Next, ou Let il Bleed et une poignée d'autres ...)

"This is the age of machinery / A mecanical nightmare / The wonderful world of technology / Napalm hydrogen bombs biological warfare / This is the 20th Century / But too much aggravation / It's the age of insanity " - (The Kinks, au siècle dernier ... à propos d'une époque où les clivages tuent.)

Ce qui ne leur a pas plu aux Lynyrd Skynyrd c'est que Neil Young généralise dans sa chanson à propos de l'Alabama, alors qu'il vivait alors au Canada et se permettait de juger les "red necks". Un peu comme Raphaël dans sa dernière chanson "Le Patriote" qui raconte n'importe quoi...