Sauf que ce qu'on demandait ce n'était pas qu'ils adaptent le nom de l'évènement à un casting plus Pop-Rock mais au contraire qu'ils modifient le casting pour revenir à une distribution plus rock. Et pour l'instant, à mon avis le compte n'y est pas.
Le 06/10/2010 à 21h08 (86.209.***.***)
chrisccc -
http://photostrio.free.fr//gallery/pics/big/!B3-LMTQBWk~$(KGrHqR,!hYE)7y!VDsoBMoJT0wvGg~~_35.jpg">
mon dernier achat
Le 06/10/2010 à 20h58 (86.209.***.***)
chrisccc @ nebo -
j'avais entendu dire que "sweet home Alabama" avait ete fait en repose au morceaux de Neil Young "alabama" ,tu connait peut etre cette legende ?
Le 06/10/2010 à 18h09 (80.185.***.***)
Sylvie -
MDR ils ont changé le nom cette année... comme quoi nos critiques sont parfois prises en compte
Bonne fête à vous les nono,bruno et autre nonosik gros gros bisousssss
Le 06/10/2010 à 08h08 (130.79.**.**)
Alain(Gnac10) -
POur un defilé du 14juillet a la rigueur
Le 06/10/2010 à 00h38 (79.80.**.***)
Pat' s @ Alain ganc -
POur un defilé du 14juillet a la rigueur, ...en tout cas , tu vas pas me convaincre avec ca!!!hahahahhahhahahahaha !!sinon , regarde , ya plein d autre batteur !!
Au risque de me faire huer, travis baker des blink 182 est juste un des meilleurs batteurs actuels, a l aise dans tous les styles et capable d atteindre un vitesse de frappe juste incroyable!
Le 04/10/2010 à 23h42 (92.151.***.***)
Nebo -
Y'a pas d'quoi Carine.
Sinon...
Je suis pas fan de Carlier... mais je dois avouer qu'il lui arrive de faire mouche.
@Nebo: merci!!! De droite de gauche, les Blink, toute ma jeunesse (ben ouais, personne n'est parfait ). So here's your holidaaaaayyyy (Finalement, quand on y réfléchit - après avoir passé le cap d'ado débile - c'était pas si drôle finalement... )
Le 04/10/2010 à 00h38 (92.151.***.***)
Nebo - Un article de Vox Pop Mag...
Une Histoire des Rockers de Droite
Bob Dylan contre la guerre au Vietnam, The Clash contre le gouvernement Thatcher, JoeyStarr contre le gros Eric Raoult : au nom d'une croyance populaire trop répandue, le rock roulerait majoritairement à gauche. Sauf que, derrière certaines idoles des jeunes d'hier et d'aujourd'hui se cachent parfois de bons vieux conservateurs. Peut-on être rock et kiffer les pages saumon du Figaro?
À première vue, le rock roule à gauche. Il y a eu les protest songs, Woodstock et la foire fourmillante et communautaire, les éructations vitupérantes de http://en.wikipedia.org/wiki/Jello_Biafra" title="biaffra" target="_blank">Jello Biafra, les appels à la paix de http://en.wikipedia.org/wiki/John_Lennon" title="lennon" target="_blank">Lennon, les rassemblements du 21 avril 2002, « We Are The World », le flower power, la dénonciation de l'Angleterre thatchérienne, le hardcore US du début des années 80, les Inrocks en avant-postes auto-désignés du combat « culturel » antisarkosyste. Aux Etats-Unis, chaque élection est l'occasion d'un nouveau compagnonnage entre entertainment et Parti démocrate. Sans compter l'aréopage de zazous, voyous, androgynes, artistes maudits, rebelles, érotomanes déréglés, toxicos qui peuplent le monde du rock. Quand on est tout ça à la fois, on a plus de chances de se sentir à l'aise du côté des gauchos, des babos, même des bobos et libéraux libertaires que des défenseurs du terroir, du port d'armes, de l'interdiction de l'avortement, ou des adeptes du tea party aux Etats-Unis.
Pourtant, l'histoire est plus compliquée. On a assisté, dès les débuts du rock, à des dérapages plus ou moins contrôlés de nos différentes idoles. Dans une édition de juin 2006, le journal conservateur de référence aux Etats-Unis, the National Review, s'est livré à un exercice amusant de catalogage des morceaux qui peuvent aider le réactionnaire friand de bon son à sortir de sa solitude politique. On y répertorie tous les thèmes chers à la droite.
D'abord, l'épuisement fiscal du rocker, quand, avec l'âge, la prospérité amène à revoir ses priorités. C'est le « Taxman » de 1966, ras-le-bol libéral et anti-distributif de George Harrison, sur l'album Revolver.
Beatles : Taxman
La désillusion contrerévolutionnaire, avec « Won't Get Fooled Again » des Who, qualifiée de « chanson la plus conservatrice de l'histoire du rock » par National Review,
The Who : Won't get fooled again
ou « Revolution », encore des Beatles.
Beatles : Revolution
A noter, aussi, les titres qui chantent le Sud « white trash », « hillbilly », rural et réactionnaire, avec « Sweet Home Alabama » de Lynyrd Skynyrd ou « The Night They Drove Old Dixie Down », par The Band. Les chants bellicistes, comme « Don't Tread on Me », par Metallica, en soutien des Etats-Unis contre l'Irak de la première guerre du Golfe, ou, le « Neighborhood Bully » de Dylan, sur Infidels, en 1983, en soutien d'Israël deux ans après le bombardement d'une centrale nucléaire en Irak.
LYNYRD SKYNYRD « Sweet Home Alabama »
The Band : The night they drove old Dixie down
Metallica : Don't tread on me
Particularité anglo-saxonne : les chansons « prolife », comme « Brick » par Ben Folds Five,
Ben Folds : Five brick
« Abortion », de Kid Rock
Kid Rock : abortion
ou « The Icicle Melts » par les les Cranberries.
Cranberries : The Icicle Melts
Pas mal de chansons pro-famille aussi : « Stay Together for the Kids » par Blink 182,
Blink 182 : Stay together for the kids
et même, avant ça, « Wouldn't it Be Nice » des Beach Boys, ode pro-mariage et pro-abstinence à une vie hétéropatriarchale simple et sans heurts.
Beach Boys : Wouldn't it Be Nice
Quelques chansons qui dénoncent l'esprit de repentance du monde occidental blanc « Get Over It » des Eagles,
The Eagles : Get Over It
voire le controversé « Guilty of Being White » de Minor Threat, pourtant toujours marqué très à gauche et punk.
Minor Threat : Guilty of Being White
Quelques titres culturellement conservateurs, qui dénoncent la décadence littéraire et poétique de l'époque, avec « Rime of the Ancient Mariner » d'Iron Maiden
Iron Maiden : The Rime of the ancient mariner - part 1/2
Iron Maiden : The Rime of the ancient mariner - part 2/2
ou « 20th Century Man » par les Kinks qui préfèrent Rembrandt, Titien, de Vinci ou Gainsborough aux peintres modernes.
La France a bien sûr ses rockers ou chanteurs de droite. On pensera évidemment à Sardou (« Les Ricains », « Je suis pour», « Le temps des colonies », « Le France »). Mais pendant longtemps, surtout avec Mitterrand, la variété française file des noces tranquilles avec l'antiracisme, l'humanisme et le multiculturalisme. C'était le cas, par exemple, de Renaud (« Tonton, laisse pas béton ») ou Balavoine. En France, le rocker de droite, c'est Johnny Halliday, dont on peut suivre le destin météorique des années 60 jusqu'à aujourd'hui, pour comprendre les modifications d'une figure pop en même temps que son influence sur la construction des clivages politiques.
Comme le dit l'historien Yves Santamaria, dans Johnny, sociologie d'un chanteur, Johnny est à la fois « le chanteur des pauvres et des seconds couteaux », une « figure de la jet-set, (incarnant) une marginalisation par rapport au parcours scolaire érigé en norme », « franchouillard », mais pro-américain, parfois prosioniste, au moins dans les années 60 quand Israël avait le statut de victime héroïque et n'était pas encore perçue comme entité coloniale, critique à propos d'une fiscalité jugée excessive et méfiant à propos de la culture des élites, en dépit de références à Hemingway ou d'un bout de route dans les années 80 avec Godard et Nathalie Baye.
A la fin du XXème siècle, « il incarne le volet droitier de l'alternance politique », (Santamaria), la France qui gagne, même si ça n'est pas forcément celle qui se lève tôt. Il réalise la synthèse entre une France mondialisée, friquée, mobile, décomplexée par rapport à l'argent et la dépense, sceptique face à la haute culture (et au moins la Princesse de Clèves) et une autre France populaire, passionnée par son pays, volontiers cocardière et jugée « beauf » par les élites culturelles. En somme, ce caractère hybride de Johnny Halliday, c'est exactement la synthèse politique réalisée par Sarkozy en 2007, qui ressemble à celle de Nixon aux Etats-Unis dans les années 60, entre les milieux populaires conservateurs du Sud et les élites financières du Nord-Est. Avec l'alternance, c'est Johnny Halliday, qui incarne la révolution politique de l'élection de Nicolas Sarkozy, un peu comme si l'élection de 2007 était la revanche des neuilléens en 4X4 et des patrons de bar de province, tous deux blancs, avec « Quelque chose de Tennessee » dans l'autoradio, sur les bourgeois de centre-gauche, les profs et les professions intellectuelles dragués par Jack Lang.
No prob l ami! T as quitté ton gennevilliers natal? Bon week end?
Le 01/10/2010 à 15h54 (193.56.***.**)
fredhf@xav -
salut xav je vois bien ce que tu veux dire mais je n'ai jamais eu le temps pour de m'en occuper, les concerts étant ma priorité, malheureusement depuis mon déménagement pas encore pu réinstaller l'ordi qui me sert à faire les montages a+ bon week end
Le 01/10/2010 à 14h40 (83.196.***.***)
Sortez les mouchoirs.... -
Le 30/09/2010 à 20h35 (85.169.***.***)
Alain(Gnac10) -
petite démo de la petite
J'aime bien
Le 30/09/2010 à 19h42 (90.52.***.**)
chrisccc -
Orianthi , quelle meuf avec sa gratte !!!une bete !!!! excellent !!!!
Le 30/09/2010 à 17h55 (90.14.**.**)
Yvan aux gratteuses -
tous les goûts sont dans la nature et il en faut pour tous les goûts ! dans leurs genres elles sont parfaites ! un connaisseur qui parle !
Le 30/09/2010 à 11h50 (81.51.***.**)
Gratteuse -
N'empêche, pas étonnant qu'elle ait été la guitariste de Mickael Jackson : elle a le pif qu'il a toujours rêvé d'avoir. Toute blague mise à part, c'est vrai qu'elle est mimi tout plein et que son maniement énergique de la guitare me scotche davantage que Carlita dans Quelqu'un m'a dit.
Le 30/09/2010 à 11h04 (81.53.**.**)
laetitia @ xav -
Ah ok ! j'ai seulement des photos de ce moment moi !
Le 30/09/2010 à 09h49 (92.103.***.***)
XAV - LAETITIA
merci !!! j aimerais retrouver la video quand on etait devant la scene avec fredhf qui jouait avec la folk de ton oncle et moi a l electrique, je crois que c etait telephomme....