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| Le 23/06/2007 à 15h26 (90.28.**.***) |
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Je prends connaissance du commentaire édité le 9 juin sur ce site à la suite de l'article nauséabond paru le 8 juin sur Libération concernant Patti SMITH. Je me permets de joindre le commentaire que j'avais adressé à ce quotidien et qui à ce jour n'a pas été publié.
Objet : LIBERATION du 8 Juin 2007 – Article : Vintage, sous la plume de Mme Marie-Dominique LELIEVRE et qui se voudrait un portrait, subjectif certes, de Patti SMITH.
Mon intention n’est pas ici de défendre Patti SMITH. Elle n’en a nul besoin. On est libre, bien entendu, de ne pas l’aimer, de passer à côté de son œuvre, même délibérément. En revanche, l’entreprise de démolition par dénaturation à laquelle s’est livrée, toute honte bue, Mme LELIEVRE, en s’abstenant de présenter le moindre élément un tant soit peu sérieux sur lequel elle eût pu essayer d’asseoir son propos, ne peut me laisser sans réaction. Car c’est bien la méthode que je déplore tant elle se situe aux antipodes d’une authentique démarche critique.
Il est vrai que j’ai peut-être un léger avantage sur Mme LELIEVRE, c’est que je connais Patti SMITH, un peu. Pas en tant que journaliste, ni même que professionnel. Il se trouve aussi que j’étais présent lors de cet après-midi pluvieux consacré à des entretiens avec la presse. Si Mme LELIEVRE n’avait jamais rencontré Patti SMITH auparavant, il lui aura donc sans doute fallu moins d’une demi-heure pour cerner sa personnalité, pourtant énigmatique à maints égards, et en dresser le réquisitoire. On mesure déjà le pourquoi de l’inanité de la chose. Regardons maintenant son étendue.
D’abord, il y a les interprétations, les amalgames et les omissions complaisantes avec leur lot d’effets induits et pervers qui ne peuvent conduire qu’à des contrevérités suggérées.
Ensuite il y a les erreurs biographiques, nombreuses (pas moins de 8 sur 8 paragraphes !) mais qui, dans le cas d’un article de cette nature, se révèlent particulièrement graves. Graves en ce qu’elles démontrent le peu d’égard documentaire et partant le total désintérêt de l’auteur pour son sujet ; graves aussi, et par voie de conséquence, parce qu’elles sont de nature à disqualifier une Rédaction tout entière. Dans ces conditions en effet, pourquoi confier à quelqu’un qui n’a rien à en dire, la responsabilité de brosser le portrait d’une artiste dont elle ignore manifestement beaucoup pour ne pas dire l’essentiel, et à qui, d’évidence, elle n’a rien compris ni même voulu comprendre? Or c’est bien ce que cet article navrant démontre de manière aussi irréfutable que tragique pour celle qui l’a commis. Patti SMITH parle sans doute de beaucoup trop loin et de beaucoup trop haut…
Enfin, pour comble, il y a ce ton dont tout humour est en fait absent, faute d’humilité. S’y exprime en effet, sans nuance, une condescendance stylistique facile et hypertrophiée à laquelle toute substance de fond est sacrifiée dans le seul dessein d’assouvir l’autosatisfaction prétendument iconoclaste et un brin puérile de quelqu’un qui cependant se dit écrivain. Affligeant…
Affligeant en effet, car je ne connais pas ce personnage que nous présente Mme LELIEVRE et qui lui a pourtant dit s’appeler Patti SMITH. J’ai du faire erreur sur la personne car elle, Madame LELIEVRE, n’est pas dupe. Fine guêpe, elle a su mettre à jour la supercherie plus que trentenaire savamment ourdie et entretenue par cette manipulatrice en vérité sans talent. Qu’on en juge, en reprenant les propres mots de l’article : Patti SMITH était un mannequin New-yorkais qui a su adroitement choisir ses amis (il est vrai qu’à l’époque de sa rencontre avec Robert MAPPLETHORPE ou Lenny KAYE, tous deux étaient déjà fort célèbres et lui ont ouvert bien des portes, alors qu’elle ne fut qu’un parasite, tout le monde vous le dira, dans la vie ou l’œuvre de l’un et de l’autre), est parvenue à se faire passer pour un poète en habitant les lieux communs (bien sûr, puisqu’elle était mannequin je vous dis…), a sorti une reprise de THEM (attention ! scoop : le poème qui sert d’introduction, écrit soit dit en passant cinq ans avant l’enregistrement, est en fait de Van MORRISON ! Vous savez : Jesus died for somebody’sins etc, etc…), hymne pour ados qui avait cependant de la gueule, à l’époque, en ouverture d’un premier album qui connut une réception fulgurante, une fois qu’il eût été sérieusement arrangé par John CALE avant sa sortie (il fallait en effet sauver le travail du même John CALE qui a supervisé l’enregistrement studio…ouf !), mais qui fut sans lendemain puisque les suivants sont décevants (tous! Radio Ethiopia, Easter, Gone Again, Trampin’…), bien qu’elle ait eu la chance de tomber pile poil dans un temps mort (nous avons oublié, mais c’était le néant créatif en ces temps anciens et puis, tous ces disparus qui ont heureusement choisi leur moment pour partir…), a lancé un personnage de rockeuse engagée (ben oui, puisqu’elle était mannequin ce n’était donc qu’un personnage, forcément…), avant de passer à un nouveau rôle, celui de mère (l’a-t-elle bien joué celui-la ?), et qui scande aujourd’hui les grands mots convenables dans un autre rôle (le troisième…quelle actrice !), celui de petit maître à penser officiel, un peu chiant (c’est vrai, c’est chiant de parler aujourd’hui, en 2007, de ségrégation, isolement, immigration, intégration, exploitation, compromission), devant des couples de sexagénaires tapant sur leurs cuisses, assis sur des fauteuils à soixante euros (pour ma part, j’avais choisi la fosse, avec ma nièce qui a quinze ans et mon fils qui en a vingt-quatre. Il venait écouter Patti SMITH pour la quatrième fois …).
Dans le cadre des Rencontres Internationales de la Photo, lors d’un concert mémorable au Théâtre Antique d’Arles, voici bientôt un an, Christian CAUJOLLE, ex-critique photo à Libération et fondateur de l’Agence Vu dont on fêtait précisément les 20 ans, évoquant son parcours dans votre quotidien, lançait, en forme de présentation : "Patti Smith est de la même culture que Libé : la révolte et le rock'n'roll.". Cohérence ? Voila qui disqualifie à nouveau Libé, pour de bon cette fois. Un lecteur de perdu, un…
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| Le 23/06/2007 à 13h02 (82.121.***.**) |
Youti -
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quelqu'un pourrais me dire ou et quand ce passe le concert de louis a blois le 13juillet parce que sur les site ou je suis allé je vois meme pas son conert, je comprend rien, merci de votre aide
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| Le 23/06/2007 à 07h39 (24.184.***.**) |
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m106k
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| Le 23/06/2007 à 06h50 (83.113.***.**) |
Lorence@nyto -
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OH..mais?..mais c'est moi...
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| Le 22/06/2007 à 23h56 (67.84.***.***) |
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m621k
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| Le 22/06/2007 à 23h47 (82.245.***.**) |
Larousse 2007 -
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koi ke tu di? Navé po daparaille? O, daumaje!!!
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| Le 22/06/2007 à 23h24 (91.164.***.***) |
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 salut a tout les aeronot,je suis un fan daerosmith,jété au concert a paris cété super,jai réalisé un reve,parcontre je navé pa dapareil foto et je voudré savoir si quelqun pouré menvoyé des négatif ou des foto du concer.sa se seré géniale.voici mon mail abbes.lauriane@aliceadsl.fr.merci a tout les fan daerosmith comme moi.
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| Le 22/06/2007 à 21h17 (82.66.***.***) |
Laetitia -
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Je serai à Chateneauf les martigues!
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| Le 22/06/2007 à 19h26 (83.113.***.**) |
Lorence @coco -
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serai à embrun le 6 juillet
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| Le 22/06/2007 à 18h49 (69.115.***.***) |
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m137k
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| Le 22/06/2007 à 17h58 (90.14.*.**) |
coco -
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Qui va a Embrun et Chateauneuf les martigues les 6 et 7 juillet ?
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| Le 22/06/2007 à 16h44 (86.212.**.***) |
Ed -
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merci kiyazo pour ces putains de belles photos.
merci Monsieur Nebo pour cette putain de bellle mise au point sur un putain de bon groupe. 
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| Le 22/06/2007 à 16h42 (87.67.***.***) |
arlette -
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les royals cheeses c,est bien bon
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| Le 22/06/2007 à 08h36 (86.213.***.***) |
Gratteuse -
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à Daniel : même réaction que toi, sauf que j'ai mis ça sur le compte de la fatigue (il était tard) et je me disais "je fabule..." à Nyto : non, t'y es pas. C'est une version Canada Dry. C'est une copie, c'est pas du tout une reprise texto des mesures/textes de l'original. La voix féminie est approchante (grave et suave) mais il manque la brisure, le côté rocailleux-gratounette micro-James Brown au féminin de Carla. Les paroles ne sont absolument pas les mêmes, mais le phrasé, avec son cumul d'adjectifs, l'est. Et la mélodie, très proche d'un parlé légèrement en musique, c'est autre-chose aussi mais qui se rapproche. Une copie, je disais... Exactement dans le même esprit de copie que la zic de la pub sur les engrais avec les nains de jardin, façon "Ma cabane au fond du jardin".
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J'ADORE ! 
Comme tu dis, si on t'imite c'est que tu une certaine renommée donc c'est parfois pas si mal, et puis en ce moment au Mac Do il y a les personnages de Shrek 3 et ma nièce les collectionne, alors Louis, un geste pour la petite Elodie qui a 4 ans!!! 
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