Yo mon poto J'viens de chopper le plug pour matter la video Thank's pour ce p'tit moment rock'n'roll... y sont bons les chevelus illuminés
Le 09/06/2007 à 15h24 (90.27.***.***)
coco@Louis -
Y'a Renaud qui fait un concert pour ses fans membres du HLM fin septembre. ça serait pas une bonne idée a piquer ça ?
Merci a fredhf pour la video c'est que du bonheur Helter skelter by the prez !
Le 09/06/2007 à 15h11 (81.48.**.**)
Nebo -
Dans le Libération d'hier, Vendredi 8 Juin 2007, il y a cet article sur Patti Smith qui sent le parisianisme blasé et bobo...
On est heureux d'apprendre que Patti Smith a une moustache et que ce qu'elle a fait depuis son premier album, "Horses" en 1975 (!!!!!) c'est de la merde... le tout sur un ton condescendant à l'égard de la dame et de sa vie privée qui tient du jugement petit bourgeois plutôt que d'une critique constructive. Je vous le donne pour que vous puissiez en savourer chaque tournure de phrase où la journaliste, Marie-Dominique LELIÈVRE, tente de briller.
Vintage
Patti Smith, 60 ans. Depuis 1975 et l’album « Horses », elle n’a pas bougé d’un poil, fidèle à son négligé vestimentaire comme à son personnage de rockeuse engagée.
Patti Smith, dégoulinante de pluie, fait son entrée au Pavillon de la Reine, un leading small hotel of the world de la place des Vosges. Son grand chapeau, ses longs cheveux gris en papillotes et sa redingote élimée lui donnent l’allure d’un rabbin. C’est la styliste Ann Demeulemeester, spécialiste du négligé savant, qui l’habille : rabbi Patti est son égérie. « Elle fait tous mes vêtements. » Sur mesure : les manches de sa redingote se déboutonnent afin qu’elle puisse jouer de la clarinette sans faire craquer son habit. « Ann fait des fringues parfaites pour moi. Je peux me coucher toute habillée, me lever et monter aussi sec sur scène. » Sa chemise a dû faire la tournée européenne sans passage par la case laundry. « Les vêtements sont très importants pour moi : ils sont mon uniforme. Je porte encore des tee-shirts qui ont trente ans d’âge. »
Dans la promo des sexagénaires célèbres, Patti n’entre pas dans la section calendrier Pirelli 2007 comme Sophia Loren, elle est plutôt tendance bobo crade : asexuée, puritaine, je ne teins pas mes cheveux et je vous emmerde. « Je me suis toujours habillée comme ça, proteste-t-elle. Sur la pochette de Horses, je suis photographiée avec ce que je portais ce jour-là. » Sauf que la chemise blanche est propre. « Oui, mais Robert avait exigé que je la lave et que je la repasse. Je l’ai fait pour lui », dit Patti, le poignet enrubanné de bracelets votifs de lycéenne.
Robert, c’est le photographe Robert Mapplethorpe. Patti Smith a toujours su choisir ses amis. Elle rencontre Robert à Brooklyn, le 3 juillet 1967. Ils ont 20 ans, Patti Smith vient de quitter son New Jersey natal pour New York. Elle a déjà une vie derrière elle : à 16 ans, elle a eu un enfant qu’elle a abandonné avant de travailler en usine. La vie à New York est facile, on s’y loge pour des clopinettes, et des tas de gens veulent « faire des choses ». Patti, qui a vu les photos d’Edie Sedgwick dans Vogue, rêve d’épouser un grand artiste. En attendant, Mapplethorpe est un étudiant en arts plastiques charmant, timide et fauché, et Patti Smith est vendeuse chez Brentano’s. « Cette rencontre a changé ma vie. Robert a été mon petit ami jusqu’à son coming out, puis mon collaborateur. Il a réveillé l’artiste qui sommeillait en moi, et j’ai eu le même rôle pour lui. » Séduit par sa plastique androgyne et sa longue figure à la Modigliani couronnée d’une tignasse romantique, Mapplethorpe la photographie au polaroïd, à poil ou pas. Sa photo en noir et blanc, pour la pochette de "Horses", est diablement séduisante : pantalon d’homme et veste jetée sur l’épaule, Patti Smith est fringuée en Frank Sinatra fripé. Une ombre de moustache orne sa lèvre supérieure.
Trente ans après, Patti Smith est toujours un poil moustachue, pas de doute : un fin tatouage bleuté surligne sa bouche. « Mummy, you are the same person » (« Maman tu es toujours la même »), lui a dit sa fille l’autre jour en découvrant avec étonnement une photo des années 70. Ni épilée ni poilante, un brin horripilante, Patti Smith, dont le Levi’s 501 protovintage s’orne d’un sigle Peace crayonné au stylo, joue toujours dans la même catégorie.
Dans sa valise, elle trimballe encore ses grigris, recueils de Coleridge et Walt Whitman, que des bonnes marques du romantisme. Elle rentre d’un rendez-vous à la Fondation Cartier, qui prépare une expo sur elle pour l’année prochaine. « Je suis ravie. L’endroit est vraiment chouette : juste à côté du cimetière du Montparnasse. » Les tombes de Baudelaire, de Susan Sontag, de Brancusi, de Beckett ont droit à une visite lorsque Patti passe à Paris : « Ce sont mes ancêtres spirituels. J’adore m’asseoir rue des Grands-Augustins devant l’atelier où Picasso a composé Guernica. Je l’imagine là, en train de peindre, ou de marcher dans la ruelle. Je suis une groupie, et je fais des trucs de groupie. » Une façon fétichiste et naïve, plutôt que sensible, d’habiter les lieux communs. Mais du coup, elle passe pour un poète. N’empêche, elle sait choisir ses amis.
En 1972, une nouvelle rencontre adroite oriente sa vie: celle de Lenny Kaye. Ce critique musical passionné et vendeur de disques chez Village Oldies vient d’assembler Nuggets, compilation séminale des meilleurs groupes de rock garage du milieu des années 60. Dans les notes de pochette, il y utilise pour la première fois le mot de « punk ». A cette époque, Patti Smith est un mannequin new-yorkais qui, le soir venu, improvise sur scène de longs poèmes rimbaldiens. Lenny Kaye la pousse à fonder un groupe, qui enregistre en amateur Horses. Avant d’être commercialisé, l’album est sérieusement arrangé par John Cale, qui en démultiplie l’énergie. Sur "Gloria" , le premier hit punk américain, Patti Smith, servie par un rock à tout casser, martèle les paroles au lance-flammes avec une voix ni fille ni garçon. Le tout est glissé dans la chic pochette 33 tours conçue par Mapplethorpe. Lorsque Horses sort, en 1975, la réception est fulgurante. Ça a de la gueule, à l’époque, cette reprise des Them: le genre d’hymne flamboyant qu’on passe en boucle, seul dans sa chambre d’ado. Patti Smith tombe pile poil dans un temps mort : Jim Morrison, Hendrix, Janis Joplin ont disparu, et les Stones font des affaires. Patti Smith a tout dit en une seule année.
Si ses albums suivants sont décevants, elle a lancé un personnage de rockeuse engagée, avant de passer à un nouveau rôle, mère de famille. Elle se marie avec Fred « Sonic » Smith, l’ancien guitariste des MC5. « Je l’ai rencontré à Detroit, dans un bar à hot-dogs, avant un concert. Au premier regard je suis tombée amoureuse et j’ai su que je l’épouserais, ce qui est arrivé quatre ans plus tard . » Ils s’installent dans un trou perdu du Michigan et mènent une vie de babas. Elle fait le ménage et la lessive, apprend à cuisiner et à coudre et élève deux enfants. Seize ans plus tard, son mari meurt, à 44 ans. « On dit que le temps panse les plaies, ce n’est pas tout à fait vrai. Je ne pense plus à Fred chaque jour, mais, tout à coup, je passe devant un beau jardin, et le manque resurgit, intact et poignant. » De retour à New York, elle retrouve Lenny Kaye, qui partage un moment sa vie, et l’accompagne en tournée ces jours-ci.
« Hier, à l’Olympia, j’ai bien cru que le balcon allait s’effondrer », dit-elle. Assis sur des sièges à soixante euros, des couples de sexagénaires tapaient sur leurs cuisses. Sur la scène, elle pogotait gentiment dans des bottes d’égoutier, comme un fantôme de Lou Doillon. Même les rock critiques invités par Sony-BMG avaient déserté leur QG –le bar– pour entendre les hymnes de Twelve , son dernier album. Douze reprises édifiantes, comme Gimme Shelter ou Everybody Wants to Rule the World. Elle scande les grands mots convenables : ségrégation, isolement, immigration, intégration, exploitation, compromission, avec un chic rauque’n’roll . « Plus que divertir un public, je veux lui donner à réfléchir. » C’est un peu chiant, mais bien dans le rôle d’un petit maître à penser officiel, auquel Renaud Donnedieu de Vabres a remis les insignes de commandeur des Arts et Lettres. « Je préfère ça à un MTV Award », dit-elle, toujours rigolote. Faut voir."
Marie-Dominique LELIÈVRE
La bêtise rance dans toute sa lourdeur. Je vous conseille, quant à moi, tous les albums de Patti Smith.
Le 09/06/2007 à 15h04 (62.34.**.***)
patdenantes @ odr8 -
sallertaine, mit mir! (même si c'est en Vendée!) Faut un vaccin?
Le 09/06/2007 à 14h14 (83.204.***.***)
nyto -
Dommage ca va faire short pour ce soir mais on aurait du s'organiser pour un Bertiboeuf apres le concert de Louis...histoire de prolonger le plaisir
Le 09/06/2007 à 13h39 (83.202.**.***)
jc -
qui a des infos pour ce soir
Le 09/06/2007 à 13h25 (82.120.**.***)
fredhf -
Le 09/06/2007 à 13h19 (213.213.***.**)
carine -
@citronnette: pas assisté à celui de Paris, mais à celui d'Anvers hier, mettrai qq photos
@Trio et aux gnac à Paris ce soir: BON CONCERT!!!!
Le 09/06/2007 à 11h30 (86.200.***.***)
coco -
Bon concert a tous ce soir ! Rock'n'roll
Le 09/06/2007 à 11h18 (90.1.***.***)
odr8 -
une vendéenne gnac du jour youpppiii (en plus elle est dans mon bahut alors ... )!
Tiens j'en profites pour vous demander si y'aura beaucoup de gnacs pour voir le Patron au Festival Talus talent de Challans le 30 juin? perso jsuis déjà sur place donc j'y serai ... en esperant pouvoir y rencontrer plein de gnacs (Patdenantes ? ça fait pas loin pour toi ... 50 km ... ).
Plein de zibOos @ vous and keep on rockin' !
Pour me reconnaître? Pas dur... Cherchez un mec de 2 mètres aux cheveux très courts! Voilààà!
Le 09/06/2007 à 10h05 (88.166.***.***)
lau yam and co - @eh les gnacs!!!!!!!!!!!!!!!
allez rdv gare de l est tte a l heure et je viens avec "des nouveaux ptits gnacs" pour leur montrer ce que c est le ROCK AND ROLL LE VRAI HEIN LE POWER PAS VRAI!!!!!!!!!!!
a tte bizousssssssssssssssssss bientot en vrai
Le 09/06/2007 à 09h00 (83.114.**.**)
PiooPioo -
C'est à 19h30 ou 20h30 ce soir alors ?
Le 09/06/2007 à 08h45 (83.193.***.***)
anabelle - @aux gnacs de ce soir
BON CONCERT, bon after et on compte sur vous pour le CR!!!
Le 09/06/2007 à 08h28 (81.249.***.**)
Thierry @ luigi -
Malgré le decallage on oubli pas " je suis tout seul chez moi ♫♫ je t'appel je n't'ai pas ♫♫ pourtant.............
Le 09/06/2007 à 08h26 (81.249.***.**)
Thierry -
yessssss - This Day is THE DAY OF GNAC - Bon vivement ce soir pour retrouver notre grüpe adoré pour ce live Panaméen -
en repassant je me rends compte que ça appelle pas trop de réponse ce que je viens de "poster" vivement demain on est quelques gnacs pour l'après,d'autres bienvenus
comme je te sais pas loin (le bleu )je voulais te dire pour demain,c'est p'tet un peu gênant de dire qu'on aimerait bien le trio pour "l'after",vu que déjà dans ma vie tranquille y a jamais le temps de rien,et que ça doit pas manquer de vouloir boire le coup avec le trio,on compte sur vous pour jouer deux heures hein,trois heures
Bonjour tout le monde,
Je voudrais savoir si la musique de "Rendez-vous là-haut" sur le CD Longtemps. est de M. Bertignac ou est-ce une reprise. Je pose cette question car je viens d'écouter "La Grange" de ZZtop et j'ai quasiment pareil.
Je voudrais aussi savoir si c'est M. Bertignac qui a fait le site. Parce qu'il est simpa. Moi aussi je m'en suis fait un (plusieurs en fait mais bon ils vont pas tous vous intéresser, déjà que celui-la...) il s'appelle Vulgum Pecus, le nom de mon groupe. => http://vulgum-pecus.sup.fr
Le 09/06/2007 à 00h36 (82.122.***.**)
lo -
quelle dommage que je n ai pu aller voir les Who
J aurais bien pris ta place pas trop deçue? y a t il tjs ce si bon son bien a eux? je me le demande peace and rock and love