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| Le 18/10/2006 à 20h58 (*.*.*.*) |
louis - @ Lionel
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content de relire des mots de toi, mon pote... ils expriment si clairement le fond de tes pensées, qui, elles aussi, sont toujours limpides, que ça met à chaque fois de l'air dans ma tête...
quel que soit le sujet que tu abordes, qu'on aît la même opinion ou pas, les tournures que tu utilises imposent un total respect... parce qu'on comprend tout, qu'on voit ton intérieur, ton coeur, au travers... que jamais aucune colère ni méchanceté ne se lisent dans tes mots. - bien sûr je te mets en opposition aux manières de la "lectrice masquée", qui n'a peut-être pas atteint la même sérénité que celle qui est la tienne (...et on est nombreux dans son cas)-
merci pour l'exemple... et moi je viens de finir mon taf intense, j'espère qu'on va se revoir...
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| Le 18/10/2006 à 20h11 (87.231.***.***) |
Lionel @ la lectrice masquée & Yvan -
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Tu sais, a priori, j'ai tout le monde à la bonne : j'aime bien établir le contact, échanger, m'intéresser à ce que qu'exprime le mec ou la nana en face, donner mon avis et même faire des critiques et donner des conseils, ce à quoi a eu droit Yvan également.
Cela dit, si j'ai lu les 80 pages du récit d'Yvan, c'est surtout parce que c'était plaisant et prenant. Il y a pas mal de passages marquants qui me restent encore en tête et le 2e extrait qu'il a copié ci-dessous (après la 1ère leçon de guitare, qui est bien aussi) est un de ceux-là. J'avais beaucoup aimé la qualité et l'intensité du passage, mêlant de façon très fluide et colorée la description du lieu, du groupe sur scène, de la "faune", de son approche d'un milieu/groupe qu'il connaît mal, etc. En le relisant juste maintenant, ça me laisse une tout aussi bonne impression, c'est rock, ça sonne juste et il y a de nombreux riffs goûteux.  Et puis l'histoire est tripante : le héros va devenir le manager du groupe qui était sur scène et la tournée dans les pays de l'Est qu'évoque Yvan est un autre grand moment du récit. 
Cela dit, il y a sans doute aussi une question de goût. Julien a visiblement tout de suite accroché fort, toi pas, OK. Bon, et puis comme je l'ai dit à Yvan, ce n'est pas publiable en l'état. On est sans doute nombreux comme ça à tenir un bon bout de quelque chose, sans avoir encore vraiment bouclé l'affaire. J'en sais quelque chose : j'ai moi-même des chansons, des musiques, des réflexions, des récits qui évoluent mais qui ne sont pas encore aboutis, solidement formalisés, publiables.
Dans le récit intense d'Yvan, toutes les pièces ne sont pas encore bien cousues ensemble. J'ai évoqué la fluidité de l'histoire du concert ; mais il n'y a pas assez de fluidité ou d'articulation entre les histoires; c'est parfois du copier-coller d'épisodes, un peu comme il vient de faire avec les 3 extraits ci-dessous qui se cognent l'un dans l'autre sans qu'on voie bien l'articulation. Et puis il y a des ruptures de récit quand Yvan passe à des considérations socio-politiques, à différents intervalles. A mon avis, il doit choisir entre les deux, voire écrire deux bouquins distincts. Ou peut-être réussira-t-il à conjuguer ces deux intentions, sait-on jamais... mais en tout cas, je crois, Yvan, que tu dois te convaincre que tu as encore du boulot sur ce bouquin et le faire à un moment ou à un autre. Ton récit le vaut.
oOo
À l'occasion de ce nouveau passage, je prie Fabio de m'excuser de ne pas lui avoir encore répondu en mail,  je salue la consoeur Rainbow, qui semble tenir un coin de la baraque , et je m'avoue estomaqué par la qualité des photos de Jean-François Pichon !  Bravo, JIHEF, ça doit en boucher un coin à tous ceux d'entre nous qui ont déjà pris des photos en concert. Tu pourrais dire de quel matériel tu te sers et le processus après sur l'ordinateur ? Et est-ce que tu recadres ? Par exemple cette dernière photo, ci-dessous, elle est recadrée ou c'est le cadrage d'origine de la prise de vue ?
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| Le 18/10/2006 à 15h51 (80.170.**.**) |
battosai david@louis -
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a quelle heure c'est les balances? ou c'est que je dois te rejoindre pour l'interview? merci d'avance (je suis en plein préparatifs :p)
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| Le 18/10/2006 à 15h34 (80.236.***.***) |
JIHEF@iannu -
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koike ... sur mon pc l'image ne s'affiche pas ???
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| Le 18/10/2006 à 15h23 (80.236.***.***) |
JIHEF@Bernie -
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cool pour la sortie du dvd, je me réjouit d'avance ... et pour la Belgique, c'est à la même date ???
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| Le 18/10/2006 à 15h12 (81.249.***.***) |
Julien@Bernie -
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YES!!!!!!!!!!!
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| Le 18/10/2006 à 14h59 (87.90.***.***) |
bernie -
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a tous les bertilous.....sortie du dvd live in zenith le 13 ou 20 novembre.....vivement le mois prochain
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| Le 18/10/2006 à 13h32 (81.249.***.***) |
Julien@Yvan -
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Ouais je sais que c'est super dur d'en trouvé... Ma mére un jour a écrit un bouquin pour les gosses, une histoire fantastique, bref, il été vachement bien, et elle ne jamais trouvé d'éditeur... Le livre restera a vie pour le cercle familial... Malheureseument je ne connait personne qui puisse t'édé...
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| Le 18/10/2006 à 13h24 (86.197.***.***) |
yvan à Julien -
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merci...oui apres je suis parti dans les pays de l'est avec le groupe....tres tripant...et je ne trouve pas d'editeur pour mon livre de mes banales aventures sur terre !
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| Le 18/10/2006 à 12h31 (83.199.***.**) |
anita -
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bonjour louis bertignac ici anita je suis contente de pouvoir communiquer avec toi
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| Le 18/10/2006 à 11h02 (83.197.***.**) |
Yvan un extrait de mon livre -
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c'etat il ya 20 ans .....Les groupes m'ont toujours fasciné, cette vie de luxe, de débauche, de drogues. Une sorte de parangon permis par la société.
Vivre de sa guitare, je m'y suis remis à la guitare, j'ai une Gibson rouge L6 S, un ampli Marshall, je prends des cours avec G. un super guitariste...
La première fois qu 'il vient à mon domicile je vois arriver un hurluberlu de 1m60, avec des lunettes noires rectangulaires, un teint blanc, si blanc que la lumière passait quasiment au travers de ses joues, un perfecto sur l'épaule, le jean gris avec des rayures noires, des santiags bleues façon croco...
Waouh un vrai musicien, je savais qu'il jouait dans le plus grand groupe de C...... Je ne l'avais jamais vu sur scène, mais dans mon bar fétiche le jour où j'ai annoncé que je me remettais à la guitare, une voix m'a dit : vois G., lui il connaît la musique... Ce ne pouvait être que bon... Un numéro de téléphone, rendez-vous est pris.
Il me demande de lui jouer ce que je sais, faut dire que j'avais acheté je ne sais combien de méthodes de guitare, blues, jazz, rock, country, picking, ha ! La technique je savais faire, tous les accords, les majeurs, les mineurs, les neuvièmes, les sixièmes...
Après quelques sons déchirants, des rythmes qui auraient fait passer n'importe quel battement des mains pour un groove sophistiqué, il me dit stop ! Stop.
- Joue-moi une mesure !
- Hein !
- Une mesure ! 1 2 3 4 et 1 et 2 et 3 et 4... Ha je découvre que la musique c'est des mesures.....
- Sur un accord de SOL avec un accord de DO il me joue « Honky tonk woman » .
Ma cervelle se colle au fond de ma boite crânienne, les yeux me sortent de la tête, je fume ma Malbaré ..... en une bouffée, j'avais le ROCK en face de moi...
Le guitariste du plus grand groupe de rock local...
L'erreur, j'étais dans l'erreur, la musique vient du cœur, c'est une mélodie qui vient de l'intérieur. La cervelle n'y est pour rien, si ce n'est à mettre des mesures pour les intellos de la blanche et des deux noires.
Soulagé de deux cent balles, G. est revenu souvent pour me mettre le groove dans la peau, à trente-sept balais tu ne joues pas le rock de suite, surtout que j'avais vingt ans d'évolution musicale à rattraper, depuis ce guitariste blond... que j'avais admiré quand je n'avais que 17 ans ....
Pendant longtemps, j'ai tapé la mesure, partout, sur le comptoir du café, sur le comptoir du bar de la boite, sur mes genoux pendant les réunions au boulot, je n'avais que la mesure en tête... kan kan ta kan kan ! Temps contre temps. temps... Tam-tam...
Depuis je joue tous les jours, la guitare est devenue une niche où je me réfugie, c'est mon temple secret, je branche ma Stratocaster que vous avez deja vue....., oui je ne suis plus Gibson, défilent les sons aériens qui remplissent mon âme comme quand c'était « more »...
J'ai trouvé mon style : on voit pire tous les jours..
Je suis arrivé, il y a de nombreuses voiture sur le parking, il fait froid, des silhouettes marchent vers l'entrée de la salle des fêtes.
Il y a quelque chose de surréaliste, ce grand bâtiment gris qui surgit au milieu de n'importe où... A l'écart du village... Tel un navire échoué sur une plage de pelouse verte, remplie de crottes de chiens...
C'est la salle polyvalente.
Je paye mes cinquante francs pour le comité des fêtes, une fumée impressionnante envahit la salle, il y a du monde, je sens une odeur reconnaissable entre toutes qui me prend les narines, ma gorge racle un peu, tiens le C est arrivé dans nos campagnes, aux armes, etc.
La sono distille une soupe épaisse, ponctuée du boum boum d'une batterie, il n'y a qu'une grosse caisse...
Des projecteurs envoient des faisceaux rouges, jaunes, verts à tous les coins de la salle, la scène éclairée de blanc par une rampe de lumière dévoile des agitations nerveuses de gens chevelus qui tels des marionnettes agitent leurs têtes d'avant en arrière, penchés sur des guitares, qu'ils grattent de haut en bas, aussi vite qu'ils le peuvent.
Le chanteur du groupe hurle sa haine de tout « fuck la famille, fuck les keufs, fuck les meuffes.... ».
Je suis très impressionné par cette revendication, qui fait passer un slogan de mai 68 pour une thèse de 3eme cycle à la Faculté de Paris.
J'entends dire que c'est le groupe des T M... Des futures stars du show bizz.
C'est leur premier concert.
Je m'approche de ce qui doit être la buvette, une tente sans les cotés, avec trois ou quatre serveurs, qui portent à bout de bras des gobelets en plastique débordant de bière.
Comme ils ont soif les jeunes le samedi, ç'a n'a pas changé, toujours la même fureur de vivre !
C'est drôle je n'ai pas oublié les habitudes, je commande un muscat, regarde un peu autour.
J'aimerais retrouver mon avaleuse , parmi la foule qui est là, je distingue tant bien que mal mon égérie, elle est avec un groupe d'indiens, tous ont le pet à la bouche, le gobelet de bière à la main, le foulard autour du cou, quelques dents en moins aussi, les cheveux longs et gras.
La couleur dominante est le noir... Les filles ont les lèvres violettes, Cure est passé par-là...
Elle me reconnaît, m'embrasse sur les deux joues entre deux bouffées de cigarette, elle a l'haleine tiède, grasse, sa bouche qui fait cet effet ?.
Son regard lubrique me braque de bas en haut, je te préfère comme ça me lance-t-elle.
Je dois avoir fière allure avec mon perfecto sur mesure, mon 501, mes santiags rouges façon croco...
J'avais mis aussi deux bagues à mes doigts, le rock à bien des bagues aux doigts, pourquoi pas moi... Je suis bien une pierre qui roule...
Ses copains me dévisagent avant d'envisager une erreur de casting, mais non tout se passe bien, j'ai gardé de mes anciennes habitudes d'alcoolo, la précision du geste qui permet de tenir la clope d'une main, le verre de l'autre, debout sans s'appuyer au bar, soufflant la fumée par les deux narines, cela impressionne l'assistance, j'avale direct mon muscat, d'un revers de la main droite je frotte mes lèvres de gauche à droite... J'écrase mon gobelet avec mon pied, là, je suis accepté...
Un homme se reconnaît à cette faculté de tenir un verre et une clope en même temps... Sans s'accouder au comptoir !
La fille rousse vient se coller contre moi, elle me demande de rentrer avec elle ce soir, sa bouche se colle sur la mienne, pendant que sa langue me trifouille les amygdales avec une certaine conviction, je suis attiré par la musique qui est en train d'émerger de la sono.
Une voix très haut perchée débite quelques phrases qui retiennent mon attention...
Nuit de chine, nuit câline
Elle est belle comme le soir
Comme la putain sur le trottoir
Nuit sans faille nuit sans trêve...
Je lui mets ma main droite sous son pull pour lui montrer que je suis reconnaissant de ses talents multiples,elle est contente, elle pose sa tête contre mon épaule...
Le groupe qui joue m'intrigue, m'arrachant à son étreinte lascive, je m'approche de la scène...
Il y a trois types qui balancent un son stupéfiant, j'ai l'impression de voir le groupe U2.
Un batteur athlétique qui tape sur ses peaux avec une énergie incroyable.
Un bassiste droit comme un I, habillé d'un long manteau noir; qui roule des basses.
Un guitariste qui joue plus vite que tous les guitaristes que j'avais pu voir, un jeu de
guitare que je ne connaissais pas... Un son qui me rend incroyablement jaloux...
Il chante, des paroles qui me plaisent, que je trouve originales
« Je sors du ring
Plus de feeling ho ho
J'ai toujours le spleen
Destination nulle part
Je marche seul ce soir
Destination autre part
Je rentre seul ce soir »
Après quatre ou cinq titres, ils finissent par arriver à la buvette trempés de sueur, le regard complètement halluciné, ils ont des fringues pas comme les autres, ils sont maquillés autour des yeux, les filles accourent, c'est la cohue...
Je n'en crois pas mes yeux, des stars, ce sont des stars, le geste, la parole, le détachement, en moins de temps qu'il n'en faut pour le dire le batteur a sifflé deux ou trois muscats et quelques demis, je le vois qui allume gros comme un mont-blanc, il me regarde droit dans les yeux, me le tend.
Mon expérience lointaine avec le avait été catastrophique, mais je suis allé au bout du monde, cela fera quinze ans que je n'avais ressenti cette odeur...
Depuis, mon moi est devenu fort, j'aspire un goulée, dans l'assistance je remarque un visage que je connais, c 'est une éducatrice de mon boulot, elle s'aperçoit que je la vois, dans la seconde elle disparaît.
je continue la soirée avec eux, après force beaucoup de choses, je décide de rentrer chez moi.
Vers deux heures du matin je prends congé de mes nouveaux copains, nous avons sympathisé, leurs copines me trouvent super.
« Tu te rends compte pour un mec de son âge... »
Mon égérie rousse veut absolument que je la ramène, pendant qu'elle monte dans la voiture, des petits claquements secs me font retourner, je vois une autre nana qui court vers nous.
C'est B. me dit ma passagère.
Je peux venir avec vous ?
Oui bien sur ! lui dit-elle avant que je me prononce.
Elle s'engouffre dans mon diesel>BR>
la suite .....par mail ou chez un editeur que je ne trouve pas !
copyright Yvan Martin
Le téléphone sonne,
Allô ! C'est P. du groupe, tu te rappelles, à T. l'autre soir.
Oui, oui, salut, tu vas bien ?
Le dimanche arrive, je vais voir le groupe répéter au foyer rural, il est environ 17 heures, je fais le tour des bâtiments, il n'y a personne.
Me voilà fort déconfit, le rock ne voulait pas de moi, j'entends un coup de klaxon, je vois arriver mes trois compères dans une vieille Honda de couleur noire, qui n'avait pas connu le lavage depuis fort longtemps ! Ils sortent la tête tous les trois ensemble de la voiture pour me dire de les suivre...
Apres des tours, des contours dans la banlieue de C., nous arrivons dans une espèce de squat, les trois étages sont vites grimpés, je vois dans une seule pièce un grand matelas par terre avec un amoncellement de poubelles, de bouteilles vides de paquet de cigarettes vides, de culottes, de vêtements sales et puants...
C'était là le temple du rock...
Dans un coin de la pièce, il y a la batterie, de chaque coté les amplis de basse et guitare, le micro est au centre relié à une petite sono dont les baffles renvoient le chant vers les fenêtres...
Ils s'installent pour jouer, appuyé sur le rebord de la cheminée, j'écoute pendant deux heures tout leur programme. C'est tellement beau que j'en oublie la vétusté des locaux, de la saleté... Il y a l'énergie du désespoir dans leur musique...
« Derrière les murs de gare
Ils y vont pour y croire
Pour quelques sous
Pour quelques doses
Se foutent en l'air pour pas grand chose
Ce sont les garçons de joie
Ceux qui n'en ont pas... »
Ils sont contents de voir que j'aime ce qu'ils font.
J'aime leur musique, j'aime les paroles de leurs chansons. Cela se voit, R. prépare un long ......... comme lui seul sait' les faire,, je me sens en sécurité avec eux.
Vers 21 heures, dans une pièce voisine, il y a un gaz, un frigo, H. prépare des pâtes avec un reste de sardines, nous partageons cette maigre pitance, tout en écoutant en musique de fond des groupes que je ne connais pas...
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| Le 18/10/2006 à 01h14 (90.0.**.**) |
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T'as vu l'heure a laquelle je t'écris!!! j't'ai vu au Rouge Gorges à Avignon et j'en dors plus...
J'ai le Marshall, j'ai la guitare et la jeunesse (euh! pas vraiment). Dis tu crois que dans 10 ans quand j'aurai l'age que tu as aujourd'hui je jouerai aussi bien que toi maintenant !! Non j'ai pas dis mon age!!
Bon, tes cours de solos sur le site c'est génial mais un peu trop impersonnel...J'te force pas, mais c'est quand tu veux que tu viens me montrer à la maison...Mais bien sûr que Carla peu venir aussi...
AH! j'oubliais, merci pour Paint in black ma femme et moi on a ADORES
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